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MAJ – 08 09 23 – LA PROMESSE (33) DE RÉPONSE « IMMENSE », « COMPLÈTE ET PROFONDE » AUX ÉMEUTES (44) TOUJOURS REPOUSSÉE, DEUX MOIS APRÈS – PROCRASTINATION ? CHRONIQUE

« Il ne faudrait pas qu’il y ait un nouvel événement pour que ça reparte. Parce que, sur le fond, rien n’est réglé. » »

« La « commission Mechmache », sorte de CNR des quartiers populaires lancée par le précédent ministre, Olivier Klein, en mars pour réfléchir aux prochains contrats de ville, est aussi en plein doute. « On a de plus en plus de mal à aller à la rencontre des habitants quand on voit ce que propose le gouvernement. On ne voudrait pas être son faire-valoir, témoigne un membre du groupe. Est-ce qu’on doit aller au bout de cette concertation ? » EXTRAIT DE L’ARTICLE DU MONDE CI CONTRE

PROCRASTINATION

Une réunion de la commission, le 7 septembre, devrait trancher la question. « Pour l’instant, on m’a laissé entendre que la commission était toujours d’actualité »,indique Mohamed Mechmache, qui, cet été, a interpellé Emmanuel Macron, sans succès, pour un entretien. « Les braises sont toujours sous le tapis, conclut Gilles Leproust.

LES RÉPONSES DU PRÉSIDENT ANNONCÉES COMME « IMMENSE », « COMPLÈTE ET PROFONDE » NE SONT PAS LÀ

MAJ : Nous vous proposons 5 extraits d’articles marquant les annonces successives :

– LE 3 AOUT « Émeutes liées à la mort de Nahel : Macron promet une « réponse immense », un mois après »

– LE 21 JUILLET : « EMMANUEL MACRON SOUHAITE UNE « RÉPONSE COMPLÈTE ET PROFONDE » AUX ÉMEUTES »

– LE 23 AOUT:« Émeutes urbaines : Emmanuel Macron va réunir plusieurs ministres pour travailler sur les suites à donner »

– LE 5 SEPTEMBRE : « Après les émeutes, rentrée morose dans les banlieues : « Sur le fond, rien n’est réglé » »´

MISE À JOUR : LE 7 AOÛT 2023 : « tenter de comprendre les nuits d’émeutes »

NOTRE RÉCENTE PUBLICATION :

ÉMEUTES (43) : LE PRÉSIDENT VA RÉUNIR DES MINISTRES POUR – 8 SEMAINES APRÈS – EN ÉTUDIER LES SUITES https://metahodos.fr/2023/08/28/emeutes-urbaines-emmanuel-macron-va-reunir-plusieurs-ministres-pour-travailler-sur-les-suites-a-donner/

LE 3 AOÛT – UN MOIS APRÈS :

« Émeutes liées à la mort de Nahel : Macron promet une « réponse immense », un mois après »

TITRAIT LE 3 AOUT LE HUFFPOST QUI POURSUIVAIT ( Anthony Berthelier ) :

« Un mois après, Macron (ici le 21 juillet) dresse son premier bilan des émeutes et parle d’une « réponse immense » à apporter

« La poussière est retombée, Emmanuel Macron peut s’exprimer. Un mois après les émeutes qui ont secoué de nombreuses villes à travers le territoire, à la suite de la mort du jeune Nahel, tué par un policier à Nanterre, le président de la République a pris la parole en longueur face à des journalistes du Figaro Magazine. Dans un article publié ce mercredi 2 août, le président se livre à une analyse et à des commentaires qu’il avait rechigné à faire jusqu’à présent.

« C’est entre Nouméa et Paris, en marge de son voyage officiel dans le Pacifique fin juillet que le chef de l’État s’est confié, après avoir donné l’impression de tergiverser pour clore la fameuse période des « 100 jours d’apaisement. » « Je me suis gardé de réagir à chaud. (…) Parce que dans les moments d’émotion, on est sommé de choisir son camp. Et donc on dit toujours des bêtises », a-t-il ainsi fait valoir, avant de révéler son diagnostic et une partie du traitement, entre « en même temps » et retour à « l’autorité »dans de nombreux aspects.

« C’est la société de demain »

« Selon lui, ces nuits de violences ont montré un « dérèglement dans nos sociétés », une « décivilisation » qui serait encouragée par des réseaux sociaux qui « créent des meutes » et « suppriment l’autorité », toujours selon les mots relayés par Le Figaro. Une vision, et des responsables que le locataire de l’Élysée pointait déjà du doigt au plus fort de la crise. Pour lui, la réponse à apporter est donc « immense. »

« Elle doit se faire, malgré tout, sur deux jambes à en croire les mantras présidentiels. « Je ne veux pas choisir », entre la réponse sociale et la réponse sécuritaire, a ainsi soufflé Emmanuel Macron lors de cet entretien : « On doit accompagner ces familles (…), et en même temps les responsabiliser ».

« En d’autres termes, le chef de l’État veut mettre en place des politiques de sanction quand les parents « sont vraiment dans l’irresponsabilité »,mais sans toucher aux allocations familiales. Une sorte de fin de non-recevoir adressée à la droite qui a fait de ce sujet son cheval de bataille….

« Une chose est sûre, toutefois, Emmanuel Macron refuse de lier les émeutes dans les banlieues aux enjeux migratoires, comme le fait allégrement la droite, son extrême et certains membres de sa propre majorité. « Quand on regarde les choses de manière lucide, 90 % des personnes interpellées sont des Français », explique-t-il…

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LE 21 JUILLET :

« EMMANUEL MACRON SOUHAITE UNE « RÉPONSE COMPLÈTE ET PROFONDE » AUX ÉMEUTES »

TITRAIT LE MONDE QUI POURSUIVAIT :

« Le président de la République a évoqué les récentes violences urbaines, pointant un « risque de fragmentation et de division » de la France, lors du premier Conseil des ministres du gouvernement Borne 3.

« Emmanuel Macron promet une « réponse complète et profonde » aux émeutes qui ont secoué la France après la mort de Nahel, un adolescent de 17 ans tué par un tir de la police. Le président de la République a évoqué un « risque de fragmentation et de division de la Nation », à l’occasion du premier Conseil des ministres depuis le remaniement.

« Il y a un besoin d’autorité, de respect et d’espérance légitime (…) Nous devons tirer les leçons de ce qui s’est passé et y apporter des réponses en profondeur », a déclaré le chef de l’État, précisant que cela « structurera les travaux de rentrée » du gouvernement.

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LE 23 AOUT – DEUX MOIS APRÈS :

« Émeutes urbaines : Emmanuel Macron va réunir plusieurs ministres pour travailler sur les suites à donner »

TITRAIT FRANCE INFO ( Agathe Lambret, Hadrien Bect ) QUI POURSUIVAIT :

« Selon les informations de franceinfo, chaque participant devra arriver avec une feuille de route, des propositions que le président de la République sera amené à trancher.

« Deux mois après les émeutes urbaines qui ont secoué le pays, Emmanuel Macron réunira mardi 29 août plusieurs ministres pour concrétiser les suites à donner et les réponses politiques à mettre en place, selon les informations de franceinfo mercredi 23 août. …

« Selon les informations de franceinfo, chaque participant devra arriver avec une feuille de route, des propositions que le président de la République sera amené à trancher. Jusqu’ici, Emmanuel Macron s’était contenté de dresser des constats, évoquant un « dérèglement de nos sociétés », un besoin de « remettre » de l’« autorité démocratique », de l’« autorité à l’école » et de l’« autorité parentale ».

« Il faudra peut-être assumer qu’il n’y aura pas de réponse magique »

« Le sujet l’a beaucoup travaillé, mais il a du mal à s’en saisir », confie à franceinfo un des interlocuteurs du président, qui a beaucoup consulté sur les suites à donner à ces émeutes urbaines durant tout l’été. « L’autorité n’est pas un sujet qui l’intéresse, mais il doit l’incarner », juge un conseiller. Quoi qu’il en soit, le chef de l’Etat avait très vite fait savoir, peu après les émeutes, qu’il n’y aurait pas de nouveau plan banlieue. « Il n’a pas changé d’avis, il faut de l’ordre et de l’efficacité », assure un ministre.

« Le 2 août dernier, dans une interview au Figaro Magazine, il avait tempéré son propos et tenté de maintenir une forme d’« en même temps » : « On doit accompagner ces familles – donner beaucoup plus de moyens, mieux les préparer -, et en même temps les responsabiliser », avait déclaré le président de la République, qui veut désormais formuler des premières réponses dès la rentrée. Parmi les chantiers prioritaires, l’école, les réseaux sociaux et la responsabilité des parents. «

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LE 5 SEPTEMBRE :

« Après les émeutes, rentrée morose dans les banlieues : « Sur le fond, rien n’est réglé » »

TITRE LE MONDE ( Robin Richardot ) QUI POURSUIT :

« Marqués par les violences urbaines de la fin juin mais rassurés par un été calme, habitants, élus et acteurs associatifs de banlieues attendent désormais une réponse structurelle du gouvernement face à la crise sociale dans ces territoires.

« Un nouveau rendez-vous avait été fixé à la rentrée par Elisabeth Borne, « une fois le calme revenu ». C’était le 30 juin, lors du dernier comité interministériel des villes (CIV) présidé par la première ministre, entourée de seize ministres et de plusieurs représentants d’habitants et d’élus des quartiers populaires.

« L’événement, prévu de longue date, venait d’être percuté par les émeutes. Dans la cour de Matignon, à la sortie de la réunion, le manque de sommeil des participants était visible, après trois nuits de violences urbaines dans plusieurs centaines de villes de France, à la suite de la mort de Nahel M., tué à Nanterre, le 27 juin, par un policier lors d’un contrôle routier.

« Il y avait aussi de la lassitude, face à l’absence de réponse du gouvernement à la crise structurelle des banlieues. Seul l’aspect sécuritaire avait été tranché pour ramener l’ordre dans les quartiers. Pour les questions sociales, il fallait voir à la rentrée. Mais, depuis, les discussions n’ont pas avancé, et le rendez-vous est désormais annoncé pour octobre.

« Deux mois après, dans les quartiers, le calme est revenu, sur fond d’un certain fatalisme. A Nanterre, épicentre des émeutes, on se prépare presque pour « une rentrée comme les autres », selon Loubna Benazzi, directrice de l’association Authenti-Cité, au pied des tours Aillaud. Les éducateurs de rue du quartier Pablo-Picasso et du Vieux-Pont (où vivait Nahel M.) ont multiplié les séjours en vacances avec les jeunes pour favoriser le dialogue. …

« Réponse majoritairement répressive

« La réponse de l’Etat aux violences urbaines aura donc été majoritairement répressive, à l’image des nombreuses comparutions immédiates au cours de l’été. « Le tout-sécuritaire, ce n’est pas bon. Mais les gens dans ces quartiers veulent plus de police. Et ramener l’ordre était quand même la priorité numéro un pour les habitants », assure Sabrina Agresti-Roubache. Nommée secrétaire d’Etat à la ville à la place d’Olivier Klein lors du remaniement de juillet, l’ancienne députée des Bouches-du-Rhône occupe désormais un poste sous la cotutelle du ministère de l’intérieur, symbole d’une volonté de réponse ferme de la part du gouvernement.

« Cette consigne d’une justice ferme et rapide a accentué encore plus ce sentiment de stigmatisation des familles, quand on voit que la justice est moins réactive pour d’autres tranches de la population », critique Ilham Grefi, directrice associative au Mirail, à Toulouse, et membre du Conseil national des villes. « Quand les “gilets jaunes” ont exprimé leur colère, on a réussi à leur débloquer plus de 10 milliards d’euros. Quand les banlieues s’opposent aux injustices sociales, on n’apporte que de la répression », regrette Mohamed Mechmache, président de la coordination Pas sans nous, qui condamne néanmoins les violences.

« Comme d’autres, M. Mechmache déplore que les parents aient été particulièrement ciblés par les pouvoirs publics pendant l’été. « On rejette la faute sur eux et l’Etat se dédouane sans se remettre en question », souffle Sandrine Joinet-Guillou, présidente de Profession Banlieue, le centre de ressources de la politique de la ville en Seine-Saint-Denis. De son côté, Sabrina Agresti-Roubache divise les parents des quartiers populaires en deux catégories : « Il y a les familles qui ont de vraies complications de vie et qui n’y arrivent pas. Celles-là, il faut les aider. En revanche, il y en a d’autres qui ont moins de problèmes, même en QPV [quartier prioritaire de la politique de la ville], et qui font preuve d’un laxisme absolu avec leur enfant, et ça, c’est inacceptable. »

« Les banlieues ne sont pas une priorité »

« Pour réaffirmer cette vision politique, la secrétaire d’Etat a signé avec le ministre de l’intérieur, Gérald Darmanin, le 30 août, une circulaire adressée aux préfets pour demander une « fermeté systématique envers les délinquants auteurs de violences urbaines ». Dans ce document, il est notamment demandé « de mobiliser tous les outils prévus par la loi pour expulser les délinquants des logements sociaux qu’ils occupent ». Il est précisé que le bailleur procédera à « l’éviction des occupants du logement où réside le fauteur de troubles »….

« Si tous s’accordent à dire qu’une réponse policière et judiciaire était nécessaire pour calmer les violences urbaines, de nombreux acteurs associatifs ou maires regrettent qu’aucune réponse sur le plan social n’ait encore émergé. « Sur le fond du problème, il n’y a rien. Parce que les banlieues ne sont pas une priorité et parce qu’au niveau électoral le gouvernement n’a rien à y gagner », fustige Nadir Kahia, président de l’association Banlieue plus et nos quartiers. La dernière annonce du ministre du travail, Olivier Dussopt – supprimer 15 000 contrats aidés en 2024 –, crée aussi une grande inquiétude dans le monde associatif.

« Le thème de l’abaya agace

« La réunion du 4 juillet à l’Elysée, où Emmanuel Macron avait convié plus de 200 maires concernés par les émeutes, n’a pas aidé à apaiser le dialogue. « Le vide politique fut sidérant, confirmant que nous avons affaire à un pouvoir parfaitement cérébré mais purement gestionnaire, technocratique, qui ne ressent pas ce qui se joue dans le pays, singulièrement dans ses franges les plus populaires », écrit Patrick Haddad, maire socialiste de Sarcelles (Val-d’Oise), dans l’avant-propos de son livre Nos racines fraternelles (Philippe Rey, 272 pages, 20 euros). L’édile regrette l’absence d’un « grand récit fédérateur » dans lequel les quartiers populaires pourraient se retrouver. « C’est ce qu’avait fait Chirac après les émeutes de 2005. Et là, à part une vague rencontre avec les maires qui n’est qu’une câlinothérapie, c’est “circulez, il n’y a plus rien à voir” », critique, lui aussi, Stéphane Troussel, président socialiste de la Seine-Saint-Denis.

« L’entretien au Point d’Emmanuel Macron le 23 août, dans lequel le président de la République estime qu’il faut « s’atteler à reciviliser », en parlant des émeutes après la mort de Nahel M., a aussi fortement agacé les élus locaux. Ils avaient déjà été contrariés de voir que leur nouvelle secrétaire d’Etat à la ville avait été la première membre du gouvernement à accepter un entretien du Journal du dimanche (JDD) version Geoffroy Lejeune, marqué à l’extrême droite.

« Autre sujet d’agacement, la rentrée scolaire faite sur le thème de l’abaya par Gabriel Attal, le ministre de l’éducation nationale, plutôt que sur le manque d’enseignants ou les difficultés à acheter les fournitures scolaires pour les familles, ainsi que la proposition d’une « tenue scolaire » dans les établissements des quartiers prioritaires de la politique de la ville portée par Sabrina Agresti-Roubache, une mesure jugée stigmatisante pour beaucoup. « Ceux qui me font ce procès n’ont jamais mis les pieds dans un quartier populaire, se défend la secrétaire d’Etat, qui aime à rappeler qu’elle est originaire de la cité Félix-Pyat, à Marseille. Cela enlève une charge mentale aux parents, cela joue sur le sentiment d’appartenance et permet de lutter contre le harcèlement scolaire et les inégalités. »

« De nombreux chantiers promis

« Au-delà de ces sorties médiatiques, la nouvelle secrétaire d’Etat promet de nombreux chantiers dans la continuité des annonces « Quartiers 2030 » faites par Emmanuel Macron à Marseille juste avant le début des émeutes. Sabrina Agresti-Roubache dit miser avant tout sur l’éducation, notamment à travers l’ouverture des collèges de 8 heures à 18 heures dans les quartiers prioritaires de la politique de la ville et la généralisation du dispositif des cités éducatives.

« En plus de la mise en place de « forces d’action républicaine » (policiers, magistrats, éducateurs, etc.) pour répondre à la crise dans les quartiers, l’ancienne députée évoque une prochaine mission, au sein du ministère, sur l’alimentation en banlieue, ou encore un travail pour ramener des lieux de culture, un autre sur le bien-être par le sport – « et pas que du foot », glisse-t-elle –, et de futures mesures pour créer des îlots de fraîcheur dans ces territoires particulièrement concernés par le dérèglement climatique.

« Reste donc à fixer ce rendez-vous de rentrée pour évoquer tous ces sujets. Promis dès septembre, le prochain comité interministériel des villes devrait finalement se tenir début octobre. « On préfère prendre le temps maintenant pour en gagner après, plutôt que de se précipiter à faire un comité interministériel des villes », assure Sabrina Agresti-Roubache. Les prochains contrats de ville, attendus depuis 2020 et devant commencer le 1er janvier 2024, sont, en fin de compte, reportés à mars… pour l’instant. …

« La « commission Mechmache », sorte de CNR des quartiers populaires lancée par le précédent ministre, Olivier Klein, en mars pour réfléchir aux prochains contrats de ville, est aussi en plein doute. « On a de plus en plus de mal à aller à la rencontre des habitants quand on voit ce que propose le gouvernement. On ne voudrait pas être son faire-valoir, témoigne un membre du groupe. Est-ce qu’on doit aller au bout de cette concertation ? » Une réunion de la commission, le 7 septembre, devrait trancher la question. « Pour l’instant, on m’a laissé entendre que la commission était toujours d’actualité », indique Mohamed Mechmache, qui, cet été, a interpellé Emmanuel Macron, sans succès, pour un entretien. « Les braises sont toujours sous le tapis, conclut Gilles Leproust. Il ne faudrait pas qu’il y ait un nouvel événement pour que ça reparte. Parce que, sur le fond, rien n’est réglé. »

MISE À JOUR : LE 7 AOÛT 2023 : « tenter de comprendre les nuits d’émeutes »

« ÉMEUTES, SANTÉ MENTALE… EMMANUEL MACRON VEUT LANCER DE NOUVEAUX CONSEILS NATIONAUX DE LA REFONDATION »

TITRE BFM Le 07/09/2023 QUI POURSUIT :

« Le président compte sur cet organe qui réunit parlementaires, associations et élus locaux pour dégager des pistes de réflexion autour des émeutes et de la santé mentale. Emmanuel Macron table également sur le projet de loi « bien vieillir », au point mort depuis des mois.

« Emmanuel Macron persiste et signe. Lors de la troisième édition du Conseil national de la refondation (CNR), à la peine depuis son lancement, le président a annoncé de nouvelles moutures. Avec un objectif: dégager des consensus autour de la question des émeutes et de la santé mentale et espérer trouver des solutions.

« En recherche depuis plusieurs semaines de consensus, le chef de l’État compte donc sur cet organe pensé pour réunir « les forces politiques, économiques, sociales, associatives, des élus des territoires » pour tenter de comprendre les nuits d’émeutes qui ont enflammé une partie de la France fin-juin.

« Un travail en profondeur » sur les émeutes

« Le chef de l’État avait déjà promis « un travail en profondeur » pour en comprendre les causes et en tirer les leçons nécessaires en marge d’un sommet de l’Otan mi-juillet. »

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