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BENJAMIN FONDANE, PHILOSOPHE ET POÈTE : « Le dernier quart d’heure… Sanglotez, sanglotons – mais ayons du courage… »

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ARTICLE – Benjamin Fondane, voilà 

BLAST

Cette nuit est irrémédiable
Mais chez nous il fait jour encore 

 Ossip Mandelstam

Benjamin Fondane portait de longs manteaux, était d’une maigreur presque évanescente et fumait des cigarettes sans discontinuer. Dans sa Roumanie natale, une première notoriété l’accompagnait pour ses débuts littéraires. Arrivé en France en 1923, il rencontre quelques mois plus tard Léon Chestov, philosophe russe qui bouleversa son existence. Avec lui, il revoit entièrement sa conception de la littérature et s’initie à la pensée. En 1926, il travaille pour une compagnie d’assurance. Il y connaît Geneviève Tissier, qu’il ne quittera plus. D’abord intrigué par le surréalisme, il abandonne assez vite l’idée d’y adhérer pour se consacrer à une poétique toute personnelle.

Alors il publie beaucoup : livres, articles, théâtre et scénarios pour le cinéma. En 1939, à la déclaration de guerre, il est mobilisé. Un périple impossible le rend à Paris en février 1941, où il vécut avec sa sœur, Line, et Geneviève. Juif, il ne porta jamais l’étoile jaune. Ses amis dirent qu’il ne prit aucune précaution pour lui-même durant l’occupation. En 1941, il habitait le 6, rue Rollin, dans le Vème arrondissement.

 Avant ça, sa vie parisienne fut mouvementée, entre ses entretiens avec Chestov, ses polémiques par journaux interposés ou ses rencontres plus matérielles, comme ce soir où il se battit avec André Breton, relaté dans une lettre à Claude Sernet en février 1930 :

« Breton, Aragon, Eluard, Thirion, etc., sont entrés en coup de vent ; on est vite venus aux poings ; je me trouvais dans la salle ; les femmes, sur les tables, jetaient des assiettes et des bouteilles tant sur les agresseurs que sur les défenseurs, dont j’étais (…) je me suis battu contre Breton personnellement. »

En 1940, conscrit, il combat pendant la débâcle. Il ne put revenir à Paris qu’en 1941, après un emprisonnement, une fuite, et une hospitalisation au Val-de-Grâce. Là, il travaille à la réécriture de son ancienne poésie et à l’écriture d’une nouvelle. Ses cinq recueils écrits en France « Ulysse », « Le mal des fantômes », « Titanic », « L’exode », « Au temps du poème » furent ainsi composés ou revus dans cette période. Il envoie également des articles de philosophie pour Les Cahiers du Sud, dirigés par son ami Jean Ballard, pour lesquels il publiait déjà avant-guerre. 1941, 6, rue Rollin, Paris, Fondane vit au milieu de l’abîme, gravement conscient que ses jours ne tiennent à rien.

Il faut imaginer une plage. Des bambins s’amusent de leur premier regard sur la mer. Elle a l’horizon qui la nappe, la mer, et d’étranges bestioles qui portent des coquilles qu’elle recrache et ravale. Au jusant, elle découvre un camaïeu particulier de sable mouillé et de sable sec et les mêmes bambins vont s’emmitoufler les pieds dans le sable boueux, ou verser la poudre aride. Ils jouent ici, pleurent un grain dans l’œil, s’extasient pour une vague un peu bruyante, rougissent la journée avançant, puis, le soir apparu, ils trouvent un bâton et tracent ce qui leur plaît sur la plage refroidie. Demain, la mer sera revenue sur ses pas et le dessin aura disparu. Fondane, dans son recueil Au temps du poème (1943-1944), tisse le lien :

« La terre finit quelque part, la vie finit quelque part, 

qu’importe ! Les nuages 

flottent dans la mer du regard, ils flottent 

fuyants, insaisissables,

et je suis parmi ce troupeau de moutons 

comme jadis, enfant, 

quand j’écrivais, avec un bâton dans le sable. »

La tendresse rectifie la linéarité sordide du cours des choses. L’enfance préserve son effronterie devant l’immense cimetière. À la tragique mutilation du temps, devant la chose qui finit inéluctablement, le poème répond par l’indifférence délicate du marmot heureux, par une dignité condescendante qui refuse qu’on lui arrache le souvenir. Toutefois, cette nostalgie consolatrice ne va pas sans une peine immense. L’exaltation de la beauté n’est pas un enchantement naïf. Si elle illumine, elle ne rallume pas. Le poème XVIII du recueil L’exode (1943) rappelle :

« Les réveille-matin ont sonné 

dans des milliers de maisons vides, 

les blés ont mûri, sauvages 

loin du regard du paysan 

Personne n’est allé aux champs 

personne n’est allé à l’école, 

personne n’est allé à l’église, 

et la nuit est tombée brusquement 

Mais les rossignols ont chanté 

tout de même ! 

C’était une vieille romance 

du temps où le monde existait. »

Tout est mort. L’unique réminiscence est dans la prose indépendante soufflée par la nature. Les hommes n’apparaissent plus dans la continuité du cycle poétique ; les chants ne sont plus l’occasion qu’on les écoute. Il y a la vacuité des lieux, l’abandon fatal des rassemblements, et l’exclamation revient aux oiseaux. Le nazisme a entraîné la présence déserte, détournant les endroits de leur fonction historique : la poésie ne fredonne plus que la stagnation des vides. L’occupation a désoccupé.

Qu’en est-il alors du temps, ici, à cet endroit, où la largesse des possibles se recroqueville dans l’acte d’écrire ? Dans sa préface au livre Le lundi existentiel et le dimanche de l’histoire, Michel Carassou rapporte une lettre de Fondane écrite en Juin 1940 à sa sœur et sa femme :

« Le dernier quart d’heure… Sanglotez, sanglotons – mais ayons du courage. C’est le moment de vivre notre philosophie existentielle : quand l’empirique est perdu, quand la force a vaincu, quand l’impossible est là, c’est alors que la foi commence. Puissé-je, puissions-nous l’avoir ! »

Le temps n’est pas compté. L’inévitable est là ; l’inévitable est intolérable. La poésie se dresse en contraire du cours des choses, dans une histoire qui outrepasse l’Histoire. Si l’évènement assoit son hégémonie sur toutes les temporalités, s’il insiste au fond des interstices de l’existence, qu’il démobilise le temps dans l’esprit de ceux qu’il condamne, alors ceux-là, les promis à la mort, diront leur possible, leur temps altéré, leur temps en dehors de l’intervalle. C’est la foi.

Dans le ghetto de Varsovie, loin de Fondane mais dans le même néant, Wladislaw Szlengel écrivait lui aussi des poèmes, des poèmes qui appelaient à la révolte des juifs. Dans « Midi moins cinq », l’écho au dernier quart d’heure de Fondane retentit :

« Je vous maudis pour ceux qui ne peuvent plus maudire 

Et pour ceux qui n’entendront pas le réveil

Des chants libres au-dessus des murs de la ville 

Quand on appellera : Ô, égaux des dieux, 

Levez-vous pour agir, par désespoir et par tristesse ! 

Le temps arrive. Midi moins cinq. »

Non loin, à Cracovie, Zuzanna Ginczanka, poétesse polonaise, écrivait, en 1942, un poème testamentaire, Non omnis moriar (Je ne mourrai pas tout entier) :

« (…) Que mes amis se rassemblent autour d’un calice 

Et boivent à mes obsèques et à leur propre luxe : 

Plats et chandeliers, tentures et kilims – 

Qu’ils boivent toute la nuit, et au point du jour 

Qu’ils se mettent à chercher : pierres précieuses et or 

Dans les canapés, matelas, tapis et couettes. 

Quel boulot ardent, leurs mains débordées, 

Pelotes de crin de cheval et de foin de mer, 

Nues d’oreillers déchirés et nuages de duvets 

Se fixeront à leurs bras, les changeront en ailes ; 

Mon sang collera les plumes fraîches et les étoupes 

Et soudain, transmutera en anges ces ailés. »

Sans omettre l’absolu de la mort, la poésie lui révèle l’augure de l’individu, de l’existence d’une saison qui la méprend, la raille, lui récuse le droit d’être ce qui pose le terme. Le temps enrégimenté par le néant est contesté par une génération de cris dont le germe est le signe aurifère de l’irrésolution.

La foi de Fondane tournée vers le retour du possible, la foi de Szlengel vers le soulèvement, la foi de Ginczanka vers le souvenir, se rejoignent à l’endroit paradoxal du compte à rebours : il n’y a plus de durée, il n’y a que l’image du temps qu’il reste. La permanence de la mort, la mort-là, en dépit de la destruction de la quotidienneté, n’empêchent pas le souhait. « Puissions-nous », « Levez-vous ». Dans l’impossible surgit la voix clairsemée du poème, vaine, qui sait ? Mais la vanité sape l’Histoire totale et impatiente, elle dit que la poésie subsume l’écume malgré le solstice. Dans Ulysse (1942) :

« Il n’y a pas de vide, 

pourquoi me tourmenter ? 

Je vous donne mes mains, je vous donne mon ombre – 

Il n’y a pas de vide et je suis seul au monde. »

La dignité comme irrévérence, le poème pour dire l’existence, et cette phrase de Perec, dans W ou le souvenir d’enfance (1975), en hommage à ses parents morts en 39-45, répercutée ici, pour le surgissement de cette fronde contre l’Histoire :

L’écriture est le souvenir de leur mort et l’affirmation de ma vie

Plus qu’un cri du cœur, au sens commun de l’expression, la littérature désigne à la fois la réalité des décombres et le visage enfoui des condamnés. Le texte redécouvre, presque archéologiquement, ce que la désaffection a enseveli. Le vestige grouille à nouveau du bruit des hommes, dans des sanglots épars, dans des indignations galvanisantes, dans la confection préalable d’une mémoire. L’archéologie entamée par la poésie ne se penche pas sur une ruine ancienne, sur un terrain oublié, elle anticipe au milieu des décombres, porte le témoignage dans le sein du ravage : elle fouille ce qui est en train de tomber. S’élève un cri. Une voix infinie dans un abîme de passage. S’élève un cri d’origine, cri enraciné au fond de l’abîme, inflorescence qui agonit l’abîme et l’innommable de l’extermination par sa présence-même, jusqu’au dernier verbe sur la terre.

Le 7 mars 1944, arrêtés par la police vichyste chez eux, Benjamin Fondane et Line Fondane étaient menés à la préfecture de police de Paris. Sur la table, une note laissée à Geneviève qui débutait comme suit : « Viève, voilà. »

L’évidence vécue devint évidence vivante ; l’irrévocable venait de tenir sa promesse. Le cri, lui, continuait dans un habit majuscule : « voilà ». Point d’orgue sur le sentiment oraculaire, « voilà » et tout est dit, raconté, narré, le seuil est vide, le salon est vide, le bureau est vide, et sur le papier s’échoue la plus haute note du cri – cadence parfaite – alors tout est habité de nouveau : les corps ont été emportés, le cri leur survit.

D’un mot l’on donne à voir comme on clôt l’époque, d’un mot, petit mot de rien, mot de ponctuation, si vite prononcé qu’on l’habitue aux quotidiens, petit mot sans salut, contemporain de toutes les sensations, si universel qu’on l’admet pour chaque moment, petit mot d’annonce ou de regret, petit mot dont l’usage est de tous les oxymores pour ce qu’il dit l’énonciation commencée comme le discours achevé, petit mot, petit mot encore, adverbe intempestif, qui démange la langue, dans la bouche de tous et partout, qui cancane, regrette, annonce, entérine, petit mot qui fut le sien, qui incline deux fois les paupières, vers l’ouverture ou vers le pli, petit et simple mot que cet adverbe : « Voilà ». 

À l’annonce de l’arrestation, les proches de Fondane firent tout leur possible pour le faire libérer. Geneviève, avec l’aide de Paulhan, Cioran et Lupasco, joua de toutes les cordes. Dans une lettre à Geneviève Fondane, en 1947, ce dernier se souvenait avoir aperçu Line et Benjamin à la préfecture :

« Avec sa sœur (…) il consolait une petite fille, qu’un car de gardes mobiles avait cueillie au sortir d’un lycée, pour l’envoyer à Drancy, et qui pleurait atrocement. Je le vois debout, sous le jour sale de cet après-midi de fin d’hiver, me regardant de ses clairs yeux bleus, aux multiples lueurs, jaillissant de son masque ravagé, si digne, si calme, avec ce sourire affectueux et narquois, indicible, devant mon émotion, que je contenais mal. »

Entre-temps, le poète et sa sœur étaient internés au camp de Drancy. Par le recours à la loi sur le mariage avec une femme « aryenne », Geneviève parvint à convaincre les autorités de Vichy. Fondane pouvait être libéré. Sa sœur, en revanche, demeurée citoyenne roumaine, devait rester détenue.

Geneviève et le mari de Line vinrent sur les sommets proches de Drancy espérant apercevoir les aimés dans la cour, celle-ci resta vide. Les jours passant, Fondane écrit à sa femme quand il peut, jusqu’à cette lettre du 29 mai :

« Mon petit, à peine ai-je pu te mettre un mot et en voilà un autre, sois courageuse. Tu sais, je te l’avais dit, il est dans la figure de notre destin des choses que l’on ne peut changer. Le voyageur n’a pas fini de voyager, ai-je écrit. Et bien, j’avais raison, je continue. C’est pour demain et c’est pour de bon. Sois ferme, mon petit, je tiens que d’ici peu tout sera fini et nous nous reverrons. J’eusse voulu t’embrasser, caresser tes cheveux, baiser tes mains… Ce n’est pas possible… 

Je n’ai pas peur pour toi, ni pour Tzoca. Je n’ai pas d’inquiétude pour l’avenir ; ta seule absence m’oppresse et de ne pas pouvoir apaiser ton sanglot. Tu n’as pas besoin que je te dise que je t’aime, je n’ai pas besoin de te l’entendre dire, mais garde-moi précieusement ce qui est à moi et je ferai de même pour toi. J’avais, à des moments de loisir, pris quelques notes au sujet de mes manuscrits ; je n’ai pas le temps de les revoir ; lis-les. Il fait d’ailleurs trop chaud pour bien penser. Il fait trop chaud pour écrire. Et j’ai l’âme trop tendue – non par l’idée du départ mais par celle de l’espace qu’il faudra mettre entre nous. 

Mon joli petit Viève, sois courageuse. C’est dur, très dur, mais d’autres que nous ont supporté davantage. Le film d’horreur que j’ai vu ici. Mais pour ma part, j’ai tout fait pour apaiser, pour adoucir cette lamentable souffrance. Nous reparlerons un jour, au coin du feu peut-être. Car je crois à la fin proche, je te l’ai dit. (…) Il m’est dur de me séparer de toi, après une si longue séparation. Au revoir mon petit, mon petit petit »

Ce fut la dernière. Fondane avait choisi, malgré sa libération actée, de rester auprès de sa sœur. Le 30 mai, ils étaient déportés vers Auschwitz où elle fut assassinée à son arrivée. 

Dans l’un de ses premiers poèmes, écrit en Roumanie en 1922 et paru dans le recueil Paysages (1927), Fondane écrivait :

« Écoute plutôt en toi des souvenirs le sourd 

tumulte. Pourtant, ce cri éclate : je t’aime – 

et j’aimerais une pierre aux caractères hébraïques. 

L’automne, dans le cimetière aux portes de la ville, 

dépose la tristesse de son miel sur les dalles des ruches, 

et dans les regards, les vrilles de la ronde terre – 

et je ne peux fuir la mort plus loin. »

Il reste un quart d’heure. Il n’y a plus rien sinon la fin. Plus un soleil pour se lever, plus une ballade pour être une habitude, rien, le temps a décrit son terme. Il reste quelques minutes avant la mort. Le néant a passé l’autel : tout est ce qui finit, tout est subalterne à l’éphémère, l’adieu couve dans chaque main. Cinq minutes, un quart d’heure. Je t’aime. C’est le dernier cri. Je t’aime. Je t’aime. Je t’aime. À la fin, sans superstition, gorgé de possible : je t’aime. Dans le mystère de ce poème, déjà, comme pressenti, ce jour où Fondane demeurerait auprès de Line, où il aurait fini d’affirmer sa « philosophie existentielle ».

Wladislaw Szlengel mourut le 9 mai 1943, assassiné pendant l’insurrection du ghetto de Varsovie, à laquelle il participait, en espérant midi. Zuzanna Ginczanka fut assassinée aux côtés de sa meilleure amie Blumka Fadis, aux alentours de Cracovie, en 1944, puissent-t-elles avoir des ailes. Georges Perec disparut le 3 mars 1982, d’un cancer du poumon. Dans son lipogramme célèbre, « La Disparition », écrit sans la lettre ‘e’, il avait laissé l’épigraphe « Sans eux », en hommage à ses parents. Benjamin Fondane mourut le 2 ou le 3 octobre 1944, dans une chambre à gaz. Les témoignages relatent qu’à Auschwitz, il donnait des cours élémentaires aux enfants.

Aujourd’hui, dans le Vème arrondissement de Paris, attenant la rue Rollin, une place, petite et sans géométrie, qui supporte deux escaliers de face, porte le nom Place Benjamin Fondane. À son ancienne adresse, une plaque à sa mémoire donne à lire la fin de la Préface en prose de L’Exode : 

« Souvenez-vous seulement que j’étais innocent
et que, tout comme vous, mortels de ce jour-là,
j’avais eu, moi aussi, un visage marqué
par la colère, par la pitié et la joie,

un visage d’homme, tout simplement ! »

Il était grand, deux yeux bleus s’oubliaient sous ses poèmes. Juif, il ne porta jamais l’étoile jaune. Ses cheveux s’esclaffaient malgré la gomme. Les cigarettes lui faisaient un onzième doigt. Il souriait maigrement sur les photographies. Plutôt que libéré, il était parti, libre, avec sa sœur. Un peu avant, il avait noté « Viève, voilà. » sur un simple papier. Là bas, il avait pris soin des enfants, avant de s’en aller, lui, sans que jamais ce cri ne s’oubliât, ce cri contracté dans un petit adverbe, qui disait l’introduction et la conclusion, le repli et la déclamation, l’existence devant l’Histoire. 

« Voilà »

Bibliographie 

– Benjamin Fondane, Le mal des fantômes, Verdier, 2006 

– Benjamin Fondane, Rimbaud le Voyou, Non Lieu, 2010 

– Benjamin Fondane, Le lundi existentiel et le dimanche de l’histoire, Non Lieu, 2021 – Benjamin Fondane, Rencontres avec Léon Chestov, Non Lieu, 2016 

– Benjamin Fondane, Théâtre Complet, Non Lieu, 2012

– Benjamin Fondane, Baudelaire ou l’expérience du gouffre, Seghers, 1994 – Benjamin Fondane, Paysages, Traduction Odile Serre, Le temps qu’il fait, 2019 – Monique Jutrin, Avec Benjamin Fondane au-delà de l’histoire, Parole Silence, 2011 – Wladyslaw Szlengel, Ce que je lisais aux morts, Traduction Jean-Yves Potel, Circé, 2017 – Zuzanna Ginczaka, À propos des centaures, Traduction Tomasz Cichawa, Toute Chose, 2022 – Georges Perec, W ou le souvenir d’enfance, Gallimard, L’imaginaire, 1993

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