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LFI CONTRE L’ÉTAT DE DROIT : DANS L’AFFAIRE DE L’ENLÈVEMENT ET SÉQUESTRATION D’UN INFLUENCEUR PAR TROIS ALGÉRIENS,

EN CRITIQUANT LES INITIATIVES DE LA JUSTICE LFI S’OPPOSE À L’ÉTAT DE DROIT

 

 « Il était évident qu’à partir du moment où on arrêtait trois membres de l’ambassade d’Algérie, il y aurait des représailles. » 

a avancé Eric Coquerel LFI

« On sait qu’Alger ne se laisse pas faire », insiste le député

Les trois hommes arrêtés sont des « ressortissants algériens », a précisé Jean-Noël Barrot ce lundi.

Seul l’un d’eux est un employé dans l’un des consulats d’Algérie en France(nouvelle fenêtre), selon les informations à ce stade. Ils ont été mis en examen vendredi à Paris pour arrestation, enlèvement et séquestration notamment, selon le parquet national antiterroriste (Pnat) français, dans le cadre d’une enquête sur l’enlèvement fin avril 2024 sur le sol français d’un opposant au regime autoritaire d’Alger. .

FAISANT FI D’IGNORER QU’IL S’AGIT D’UNE INITIATIVE DE LA JUSTICE, M. BOMPARD ACCUSÉ LE MINIS DE L’INTÉRIEUR

« Monsieur Retailleau instrumentalise la relation entre la France et l’Algérie« ,

estime Manuel Bompard (LFI)

Affaire « Amir DZ ». 

Ils sont notamment poursuivis pour arrestation, enlèvement, séquestration ou détention arbitraire, en relation avec une entreprise terroriste, selon le parquet national antiterroriste (Pnat) français.

Dans cette affaire qui concerne l’opposant au régime algérien exilé Amir Boukhors, un influenceur surnommé Amir DZ, ces hommes sont aussi poursuivis pour association de malfaiteurs terroriste criminelle.

Ils ont été placés en détention provisoire.

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