



TERRA NOVA, MONTAIGNE, C. DES COMPTES, DUFOURCK, HANNEZO, MOSCOVICI …
… LES DONNEURS DE LEÇON AU SECOURS DE MACRON ?
Le montant varie de 100 À 180 MILLIARDS : Il s’agit de l’effort que la France doit faire chaque année pour redresser les comptes nationaux mis en faillite par le trou budgétaire ( transformé en dette ) creusé par Macron.
Terra Nova propose un effort de 100 à 120 MILLIARDS. L’Institut Montaigne prône un effort global plus important que celui de Terra Nova afin de sauvegarder 40 milliards d’investissements nécessaires (défense, transition énergétique…).
Le volume d’économies annuelles recommandé par Nicolas Dufourcq est de 180 milliards d’euros.
Les modalités varient, mais la ponction prévue pour les Français est considérable :
Pour le PS et Terra Nova ( Hannezo) l’essentiel doit être financé presque à 100% par tous les Français à hauteur de d’un prélèvement ( fiscalité de TVA ou CSG et diminution des retraites ) de 4000 euros annuellement.
Pour les autres, d’autres formes de fiscalité ou des économies ( les économies sont la portion congrue).
Un point commun, personne ne propose une baisse des dépenses publiques – bien au contraire,
De même personne ne propose une baisse de la dette ( simplement une stabilisation). En effet l’ « effort « proposé correspond – seulement – au montant que pourrait atteindre la charge de la dette
Par ailleurs ils proposent tous – par simplicité et parti pris – de ponctionner les retraités.
Le seul clivage important – 200 000 fonctionnaires en moins pour les libéraux – n’est pas vraiment idéologique : Hannezo pour Terra Nova (PS) ne croit tout simplement pas à cette mesure.
Le point commun : importante fiscalité sur les Francais, sans baisse de la dépense publique et de la dette … et sans réformes majeures redonnant du dynamisme à l’action publique.
Nous vous proposons quelques articles pour illustrer le sujet :
« On le sait, Terra Nova est un think tank plutôt de gauche, tout comme l’Institut Montaigne est étiqueté plutôt libéral. …ces deux sources de réflexion, aux racines différentes, ont commis … le même travail : où trouver les 120 milliards d’euros nécessaires pour ajuster le budget français à un niveau qui stabilise la dette « Article 4
« Accord total par exemple sur la ponction sur les retraites, par divers moyens (non-indexation, suppression de l’avantage de la CSG…) pour une quarantaine de milliards ; divergence apparente sur une autre quarantaine de milliards, Terra Nova recommandant une hausse de la TVA, Montaigne coupant plus volontiers dans la couverture sociale (reste à charge des dépenses de santé, chômage, APL, RSA…). Mais la réalité n’est pas si différente car on connaît la tendance antiredistributive de l’augmentation de la TVA. « A4
« Le livre récent de Nicolas Dufourcq expose clairement les enjeux mais les propositions qu’il avance méritent la discussion. …les voies d’action présentées comportent néanmoins certaines faiblesses mais il faut les voir positivement comme une incitation à aller plus loin et à penser une vraie politique de l’offre. » A3
« Cet effort de 100 à 120 milliards d’euros, comparable aux estimations de la Cour des comptes ou d’instituts économiques, représente 3,5 à 4% du PIB. Il correspond au montant que pourrait atteindre la charge de la dette (le paiement des intérêts) dans quelques années si la totalité des 3.400 mds d’euros de la dette tricolore était refinancée au taux de 3,5% actuellement demandé par les investisseurs pour prêter de l’argent à la France sur 10 ans. « A6
Pour un ajustement de cette ampleur,
« on ne fait pas dans la dentelle » et « tout le monde va devoir être mis à contribution« ,
écrit – non sans cynisme et brutalité de la part de Guillaume Hannezo qui apparaît à bien des égards comme un éléphant socialiste .
VOIR LES PUBLICATIONS PRÉCÉDENTES DE METAHODOS :
MAJ – TERRA NOVA ET LE PS SAUVERONT LA MACRONIE ? LES FRANÇAIS SERONT PONCTIONNÉS DE 4000 e PAR AN ? – L’ÉQUIVALENT DE DEUX MOIS DE REVENU MOYEN APRÈS IMPÔTS
ILS ONT DIT : MOSCOVICI ( COUR DES COMPTES ) ET SES DUPLICITÉS SUR LES FINANCES PUBLIQUES
https://metahodos.fr/2025/12/18/ils-ont-dit-moscovici-cour-des-comptes-pris-dans-ses-duplicites/
MAJ – ILS ONT DIT : « DEPUIS 2 ANS, LES DÉPENSES DE L’ÉTAT ONT BAISSÉ » – EN 2026 AUSSI – LE MONDE PARALLÈLE DU MENSONGE
TAXER LES FRANÇAIS DE 4000 e CHAQUE ANNÉE – TERRA NOVA, QUI A THÉORISÉ LA QUÊTE DES VOIX MUSULMANES, ANNONCE UNE HAUSSE D’IMPÔTS GÉNÉRALISÉE ( TVA ET CSG ) POUR SAUVER LES FINANCES PUBLIQUES – CONVERGENCES PS ET MACRONIE
1. ARTICLE – TVA en hausse : Terra Nova alerte sur une crise de la dette inévitable
Par Aurélie Lefebvre 08/12/2025 POLITIQUE-FRANCE.INFO
Terra Nova propose d’augmenter la TVA pour éviter une crise de la dette, rejoignant des think tanks libéraux dans un constat alarmiste sur les finances publiques.
Un rapport choc qui bouscule les certitudes politiques
Alors que la gauche française martèle son slogan de taxer les riches comme solution miracle aux problèmes budgétaires, un rapport publié par le think tank Terra Nova vient jeter un pavé dans la mare. Selon cette analyse, les mesures actuelles ne suffirontpas pour éviter une crise de la dette, et des choix douloureux s’imposent.
Face à un déficit colossal et à la menace d’une crise financière, le cercle de réflexion, proche de l’aile droite du Parti socialiste, préconise de relever la TVA ou la CSG, des impôts que tous les Français paient. Une proposition qui marque un tournant dans le débat politique, alors que les convulsions autour des finances publiques commencent à faire bouger les lignes.
Une analyse partagée par des voix libérales
L’étude signée par Guillaume Hannezo, ancien conseiller économique de François Mitterrand, rejoint en plusieurs points les conclusions de l’Institut Montaigne, un think tank libéral financé par de grandes entreprises. Les deux rapports insistent sur la gravité de la situation budgétaire française, soulignant le risque financier qui pèse sur le pays.
Cette convergence inattendue entre des cercles aux sensibilités politiques opposées montre à quel point la crise des finances publiques dépasse désormais les clivages traditionnels. Alors que le gouvernement Lecornu II tente de naviguer entre rigueur et relance, ces analyses pourraient forcer Emmanuel Macron à des arbitrages difficiles avant la fin de son mandat.
Un débat qui s’annonce explosif
Alors que la gauche continue de défendre une fiscalité plus progressive, ces propositions pourraient alimenter les tensionsau sein de la majorité présidentielle. Les libéraux, eux, y voient une occasion de réformer en profondeur le système fiscal, quitte à braquer une partie de l’électorat populaire.
Dans un contexte où la crise des finances publiques s’aggrave, ces débats risquent de dominer l’agenda politique dans les mois à venir, alors que la France se prépare aux échéances électorales de 2027.
2. ARTICLE – Le mur de la dette approche
Publié le 12 décembre 2025 Par La Grande Conversation revue de Terra Nova THINK TANK DU PS
La possibilité qu’un budget soit voté au Parlement avant la fin de l’année se dessine, éloignant à la fois la perspective d’un 49.3 et celle d’un passage par ordonnances. Issu d’accords négociés entre groupes parlementaires au fil des séances, l’exercice 2026 va cependant s’inscrire dans la dérive budgétaire aggravée depuis plusieurs années. Or, la dégradation progressive de la note française sur les marchés indique qu’il est temps de se préoccuper du déséquilibre des comptes de la nation pour éviter une situation de crise imposant une brutale correction de trajectoire.
C’est dans cette perspective que Philippe Lemoine lit le livre que Nicolas Dufourcq, patron de la Banque Publique d’Investissement (BPI), consacre à la Dette sociale de la France. Le livre offre une rétrospective sur cinquante ans (1974-2024) permettant d’expliquer comment nous sommes arrivés à une dette qui représente aujourd’hui 114% de la richesse annuelle. Si le diagnostic est solidement présenté, les propositions avancées en conclusion pour redresser les finances publiques méritent la discussion parce qu’elles font porter l’effort de manière déséquilibrée sur le recul de l’Etat-providence, au nom d’une « lassitude de la redistribution ».
Le volume d’économies annuelles recommandé par Nicolas Dufourcq est de 180 milliards d’euros. Il est plus important que celui identifié (120 milliards) par Guillaume Hannezo dans son rapport pour Terra Nova sur les comptes publics (« Arrêter le n’importe quoi (qu’il en coûte) »). Le signal d’alarme est le même sur le risque budgétaire à court terme. Mais ses recommandations examinent plus en détail les différentes mesures possibles : optimisation de la dépense publique, fiscalité des entreprises, taxe sur les hauts revenus… Ces pistes le plus souvent évoquées sont utiles mais ne suffiront pas. Il manque aujourd’hui dans le débat public une prise en compte des véritables ordres de grandeur : c’est un effort considérable qu’il faut mener et, pour cela, tout le monde devra être mis à contribution.
Au regard des montants en discussion, les propositions de coups de rabot sur les dépenses publiques apparaissent comme des exercices sans portée réelle. Ce sont souvent des choix idéologiques qui avancent sous couvert de rigueur budgétaire, comme le montre par exemple la proposition récente de supprimer les allocations logement pour les étudiants étrangers. La présence d’étudiants étrangers en France ne peut pas faire l’objet d’un calcul réducteur : c’est d’ailleurs, tout compte fait, un atout économique autant qu’un facteur d’attractivité pour le monde universitaire et de la recherche.
3. ARTICLE – Où va notre dette sociale ? Pour une vraie politique de l’offre
Publié le 8 décembre 2025 LA GRANDE CONVERSATION – TERRA NOVA
Par Philippe Lemoine Entrepreneur et essayiste, président du Forum d’Action Modernités
La prise de conscience tardive mais brutale de l’ampleur de la dette française, et le risque qu’elle parte en spirale si le déficit annuel reste proche de 5% par an, a relancé le débat sur les priorités de notre système social. Comment préserver le cœur de notre contrat social sans laisser dériver les dépenses ? Le livre récent de Nicolas Dufourcq expose clairement les enjeux mais les propositions qu’il avance méritent la discussion.
Dans le casse-tête du débat sur le budget 2026, le dernier livre de Nicolas Dufourcq apporte un éclairage pertinent, celui de la dette sociale. Après avoir écrit en 2022 sur La Désindustrialisation de la France. 1995-2015, le Directeur général de la BPI (Banque Publique d’Investissement) poursuit la mise en perspective des défis auxquels le pays se confronte avec La Dette Sociale de la France. 1974-2024(Odile Jacob, 2025). On peut rendre compte de ce dernier travail sous trois aspects : c’est un livre utile, un outil de lucidité ; il présente un historique éclairant et inspirant ; les voies d’action présentées comportent néanmoins certaines faiblesses mais il faut les voir positivement comme une incitation à aller plus loin et à penser une vraie politique de l’offre.
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Une incitation à aller plus loin et à penser une vraie politique de l’offre
Le livre de Nicolas Dufourcq n’est pas un livre de doctrine. En conclusion, il croit « bon de retenir quelques-unes des leçons de ces quarante (?) années d’histoire », avec l’objectif de « trouver progressivement près de 180 milliards d’euros d’économies annuelles, soit 10% de nos dépenses » (page 211). Neuf pistes sont développées : réformer les retraites ; augmenter le temps de travail sur toute la vie ; augmenter le reste à charge en matière de santé ; lutter contre le chômage par le « trépied gagnant » que sont les allègements de charge, l’apprentissage et l’assouplissement du Code du travail ; arrêter la production de nouveaux droits sociaux ; stopper les baisses d’impôts, à l’exception des impôts de production ; changer l’imaginaire collectif, en sortant des politiques gradualistes et des chimères d’un retour de la croissance ; tenter d’obtenir une politique accommodante de la BCE pour compenser la rigueur budgétaire nationale ; écouter la « lassitude de la redistribution », en rééquilibrant les valeurs en faveur de la responsabilité et de l’autonomie, plutôt que de la réparation, de la consolation et de la compassion.
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4. ARTICLE – Le budget 2026, un terrain d’entente pour les think tanks…
À quelques jours d’intervalle, Terra Nova et l’Institut Montaigne aboutissent à un diagnostic quasi commun sur l’ampleur de l’effort budgétaire à fournir — près de 120 milliards d’euros d’ici 2027 — loin des bricolages parlementaires. Reste une question : qui accepterait d’en assumer le coût politique ?
12 DÉCEMBRE 2025 CHALLENGES Vincent Beaufils
« En finir avec le n’importe quoi… » Il ne s’agit pas d’une philippique sur ce qui se passe l’Assemblée nationale, mais du titre du rapport de Terra Nova sur les comptes publics, précisément à l’origine de l’incapacité à sortir de cette session budgétaire de manière digne. « Plus personne n’ose demander un effort à plus personne », résume parfaitement son auteur, Guillaume Hannezo, ancien conseiller économique de François Mitterrand.
On le sait, Terra Nova est un think tank plutôt de gauche, tout comme l’Institut Montaigneest étiqueté plutôt libéral. L’intérêt est que ces deux sources de réflexion, aux racines différentes, ont commis à quelques jours de distance le même travail : où trouver les 120 milliards d’euros nécessaires pour ajuster le budget français à un niveau qui stabilise la dette – on est là bien loin des bouts de chandelles discutés à l’Assemblée ?
La dimension de l’effort en 2027
Et la grande surprise vient de propositions qui ne sont pas si opposées que cela. Accord total par exemple sur la ponction sur les retraites, par divers moyens (non-indexation, suppression de l’avantage de la CSG…) pour une quarantaine de milliards ; divergence apparente sur une autre quarantaine de milliards, Terra Nova recommandant une hausse de la TVA, Montaigne coupant plus volontiers dans la couverture sociale (reste à charge des dépenses de santé, chômage, APL, RSA…). Mais la réalité n’est pas si différente car on connaît la tendance antiredistributive de l’augmentation de la TVA. Le seul clivage important – 200 000 fonctionnaires en moins pour les libéraux – n’est pas vraiment idéologique : Hannezo ne croit tout simplement pas, à la lumière du passé, à l’efficacité de la mesure ! Pour être totalement complet, l’Institut Montaigne prône un effort global plus important afin de sauvegarder 40 milliards d’investissements nécessaires (défense, transition énergétique…). Mais l’exercice de comparaison reste intéressant car il montre la dimension de l’effort à proposer en 2027. Seul problème pour les candidats : comme dit la chanson, le premier qui dit la vérité… sera exécuté !
5 . ARTICLE – Dette publique : les propositions détonantes de Terra Nova, think tank de gauche
Face aux déficits, le laboratoire d’idées progressiste préconise de mettre à contribution tout le monde, y compris les retraités et les plus modestes.
Tout le monde devra mettre au pot ! Face à l’urgence budgétaire, le laboratoire d’idées d’obédience progressiste Terra Nova estime dans un rapport publié le 8 décembre que tous les Français devront participer à l’effort d’assainissement des finances publiques et donc – surprise ! – pas seulement les plus riches.
D’abord, le constat. La note s’attarde sur plusieurs décennies de dérapage des comptes publics. Pour mémoire, le dernier budget à l’équilibre remonte à 1974, sous Valéry Giscard d’Estaing alors que Jean-Pierre Fourcade était ministre de l’Économie. Depuis, la dette publique a presque toujours continué de croître, pour atteindre aujourd’hui 3 416,3 milliards, soit 115,6 % du PIB selon l’Insee….
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6. ARTICLE – Baisse des dépenses de retraites et augmentation de la TVA: Terra Nova propose un effort massif et collectif de 100 à 120 milliards d’euros pour stabiliser la dette à 120-130% du PIB
Publié le 08/12 BFM
Le centre de réflexion juge que 100 à 120 milliards d’euros d’économies à moyen terme seront nécessaires pour stabiliser la dette « autour de 120-130% » du PIB. Pour y parvenir, « tout le monde va devoir être mis à contribution ».
Stabiliser la dette publique française nécessitera un effort de 100 à 120 milliards d’euros par an à moyen terme et imposera des mesures mettant tout le monde à contribution, selon une note du centre de réflexion Terra Nova publiée ce lundi.
Pour enrayer la spirale d’une dette publique progressant plus vite que la richesse nationale et la stabiliser autour de 120-130% du produit intérieur brut (contre 115,6% du PIB fin juin), « il faudra faire 100 à 120 mds d’euros d’économies par rapport à une situation où les dépenses progressent au rythme de la richesse nationale. C’est en plus de ce qu’il faudra faire pour ralentir certaines dépenses qui progressent plus vite que le PIB, comme les retraites et la santé », a déclaré à l’AFP Guillaume Hannezo, professeur associé à l’Ecole normale supérieure et auteur de cette note du centre de réflexion classé à gauche.
Cet effort de 100 à 120 milliards d’euros, comparable aux estimations de la Cour des comptes ou d’instituts économiques, représente 3,5 à 4% du PIB. Il correspond au montant que pourrait atteindre la charge de la dette (le paiement des intérêts) dans quelques années si la totalité des 3.400 mds d’euros de la dette tricolore était refinancée au taux de 3,5% actuellement demandé par les investisseurs pour prêter de l’argent à la France sur 10 ans.
« Tout le monde va devoir être mis à contribution »
Compenser ce montant par des hausses de recettes fiscales et des économies sur les dépenses publiques éviterait que les intérêts à rembourser deviennent une source d’endettement supplémentaire.
Pour un ajustement de cette ampleur, « on ne fait pas dans la dentelle » et « tout le monde va devoir être mis à contribution », écrit Guillaume Hannezo, en évoquant les redressements effectués par les pays du Sud de l’Europe (Italie, Grèce, Espagne et Portugal) autour des années 2010.
Il propose deux principaux leviers: « réduire les flux épargnés (donc inutiles) sur les dépenses publiques de retraite » en préservant les pensions les plus basses et augmenter un des impôts à taux modéré « payés par le plus grand nombre », la TVA ou la CSG.
Mais on ne pourra pas faire « accepter ces sacrifices sans un très gros effort durable des plus riches et un effort au moins temporaire des entreprises », autour de 10 à 15 mds pour chacune de ces catégories, avec une réduction ciblée des niches fiscales, prévient-il.
« Selon leurs orientations, les politiques essaient de faire croire qu’on peut se contenter de réduire le train de vie de l’État, avec moins de fonctionnaires, ou de travailler plus, de reprendre aux très riches ou de faire payer les entreprises: tout cela peut contribuer, mais aucune de ces solutions n’est à la taille », a expliqué à l’AFP cet ancien conseiller économique de François Mitterrand.
Pour autant, « c’est une note optimiste », a-t-il ajouté. Avec une épargne intérieure importante, une économie diversifiée toujours attractive pour les investissements étrangers et un État solide qui sait lever l’impôt, la France « saura faire » ce redressement.