
PUBLICATIONS DE METAHODOS RELATIVES AU « SURSAUT »
RÉHABILITER LA VOLONTÉ, ET LE COURAGE DE LA VÉRITÉ EN VUE DU « SURSAUT »(1) FRANÇAIS
« E.MACRON A TRANSFORMÉ NOTRE DÉCLIN RELATIF EN DÉCLIN ABSOLU » N.BAVEREZ « SURSAUT »(2)
LE DÉCLIN FRANÇAIS EST ARRIVÉ À UN POINT DE RUPTURE, MAIS LE « SURSAUT »(3) EST POSSIBLE
https://metahodos.fr/2024/11/12/84125/
Le déclin français est-il réversible ? De Jacques de Larosière
Dans ce nouveau livre, Jacques de Larosière analyse les causes du déclin français. Pointant la responsabilité des élites, il appelle à un sursaut pour en finir avec les politiques du déni et de la facilité monétaire et budgétaire.
« Pourquoi en est-on arrivés là ? Et comment en sortir ?
Il s’agit en fin de compte d’une triple servitude qui occupe l’espace public et envahit les esprits : servitude à l’égard d’une doctrine fallacieuse, celle de l’expansion continue de la demande inspirée d’un keynésianisme mal compris ; servitude à l’égard d’une propagande rassurante, encouragée par les pouvoirs publics ; servitude intellectuelle où le politiquement correct prime l’exercice de la liberté de pensée et d’expression.
Si nous ne renversons pas la table, il y a de fortes chances pour que notre déclin continue, jusqu’à la catastrophe dans quelques années. » J. de L.
Jacques de Larosière a fait toute sa carrière au sommet des institutions financières : il a d’abord dirigé le Fonds monétaire international (1978-1987), avant de devenir gouverneur de la Banque de France (1987-1993), puis président de la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (1993-1998). Il est membre de l’Académie des sciences morales et politiques. Il est notamment l’auteur de 40 ans d’égarements économiques, 50 ans de crises financières et En finir avec le règne de l’illusion financière.
« Le Déclin français est-il réversible ? : Renverser la table et sortir de la servitude »
TITRE LE NOUVEL EVONOMISTE (11 Septembre 2024 ) QUI POURSUIT :
« Dans ce nouveau livre, Jacques de Larosière analyse les causes du déclin français. Pointant la responsabilité des élites, il appelle à un sursaut pour en finir avec les politiques du déni et de la facilité monétaire et budgétaire.
« Pourquoi en est-on arrivés là ? Et comment en sortir ?
Il s’agit en fin de compte d’une triple servitude qui occupe l’espace public et envahit les esprits : servitude à l’égard d’une doctrine fallacieuse, celle de l’expansion continue de la demande inspirée d’un keynésianisme mal compris ; servitude à l’égard d’une propagande rassurante, encouragée par les pouvoirs publics ; servitude intellectuelle où le politiquement correct prime l’exercice de la liberté de pensée et d’expression.
Si nous ne renversons pas la table, il y a de fortes chances pour que notre déclin continue, jusqu’à la catastrophe dans quelques années. »
J. de L. »
« Michel Barnier sera-t-il le chevalier du déclin… réversible ? »
TITRE LE POINT (Par Franz-Olivier Giesbert 11/09/2024 ) QUI POURSUIT :
« Pourquoi le Premier ministre devrait lire l’ouvrage de Jacques de Larosière, ancien gouverneur de la Banque de France et économiste sans chichis.
On se disait que Lucie Castets ne pourrait jamais passer la porte de l’hôtel de Matignon tant sa tête, tel un melon, grossissait à vue d’œil, mais on s’attendait quand même au pire quand, comme dans la chanson d’Henri Salvador, eh, eh, Barnier est arrivé sans s’presser, le grand Barnier, le beau Barnier, avec son cheval et son grand chapeau. Il est tout sauf Zorro, celui-là, mais on crut entendre un immense soupir de soulagement jusque dans les tréfonds du pays quand fut annoncée sa nomination au poste de Premier ministre…. »
« Déclin : comment dire non »
TITRE LE JOURNAL LES ECHOS Par Margaux Boulte Publié le 25 sept. 2024 QUI POURSUIT :
La France doit arrêter de chercher les causes de ses maux à l’extérieur de ses frontières. C’est à elle seule qu’elle doit son déclin. La démonstration de Jacques de Larosière est implacable.
Le propos.
La France doit arrêter de chercher les causes de ses maux à l’extérieur de ses frontières. C’est à elle seule qu’elle doit son déclin. Cela fait vingt ans que nos dirigeants choisissent la facilité, le court terme, sans penser à l’avenir. Ils ont distribué l’argent facile pendant des années en fermant les yeux sur la dégradation des finances publiques. Voilà le constat amer dressé par l’auteur, qui propose heureusement des solutions au déclin économique français.
D’abord, sortir du keynésianisme à outrance. Ensuite, faire des économies là où c’est politiquement possible : non-remplacement des fonctionnaires partis à la retraite, diminuer les subventions à l’apprentissage, revoir certaines niches fiscales… Des mesures qui permettraient de financer ce que l’auteur considère comme les trois priorités : l’école, l’industrie et la résorption de la dette publique…. »