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LIRE ( ABSOLUMENT ? ) « Révolution par les territoires – Une réponse française aux défis du monde » – DOSSIER EN 6 PARTIES –

Face au risque de déclassement, Éric Hazan plaide pour une révolution par les territoires. Une alternative radicale au modèle jacobin, pensée comme remède aux fractures françaises.

Et si l’avenir de la France passait par ses territoires ? Dans Révolution par les territoires – Une réponse française aux défis du monde, Éric Hazan et Frédéric Salat-Baroux appellent à un changement de cap radical.

Face au risque de déclassement économique et à la montée des fractures sociales, ils plaident pour une décentralisation ambitieuse, un réarmement industriel local et une mobilisation stratégique autour des technologies d’avenir.

Dans l’entretien ci contre (2) , Éric Hazan revient sur les limites du modèle jacobin, l’urgence d’un sursaut territorial et les conditions d’une reconstruction à la fois économique, sociale et démocratique.

1. ARTICLE – « Révolution par les territoires » : plaidoyer pour une hyperdécentralisation

2. ENTRETIEN – « Réarmer la France par ses territoires » : l’appel d’Éric Hazan face au déclin

3. ARTICLE – Revolution par les territoires

4. ARTICLE – Le plaidoyer pour une révolution décentralisatrice de Frédéric Salat-Baroux et Éric Hazan

5. VIDÉO – La parole aux auteurs : Le renouveau des territoires

6. PAGE DE COUVERTURE

1. ARTICLE – « Révolution par les territoires » : plaidoyer pour une hyperdécentralisation

Dans leur livre, l’ancien secrétaire général de la présidence de la République Frédéric Salat-Baroux et le consultant spécialiste des technologies Eric Hazan proposent de modifier l’équilibre des pouvoirs. 

Par Ariane Ferrand le 03 avril 2025 LE MONDE

« Révolution par les territoires » : plaidoyer pour une hyperdécentralisation

 « Comme des somnambules, nous avançons vers un futur dont nous savons qu’il finira mal. » Ainsi commence l’ouvrage de Frédéric Salat-Baroux, ancien secrétaire général de la présidence de la République sous Jacques Chirac, et d’Eric Hazan, consultant spécialiste des technologies, intitulé Révolution par les territoires. Une réponse française aux défis du monde (Editions de l’Observatoire, 192 pages, 20 euros).

Ils expliquent que le basculement a eu lieu au tournant des années 1980, avec l’avènement d’un paradigme que les auteurs appellent l’« économisme » « Cette idée asséchante que toute chose humaine peut se ramener à une logique de marché », écrivent-ils. Entraînant délocalisations et désindustrialisation, cette idéologie aurait conduit au « martyre des classes moyennes » occidentales, à la flambée des inégalités et à un dérèglement climatique accru.

L’Europe, estiment les auteurs, n’a pas su en tirer profit : elle a manqué le virage des technologies numériques et elle s’est appauvrie par rapport au reste du monde. La part de son PIB dans l’économie mondiale est passée de 29 % en 1980 à 17 % aujourd’hui : le continent a été rattrapé par la Chine, tandis que les Etats-Unis ont renforcé leur domination économique. Si l’Europe ne prend pas le virage de l’intelligence artificielle, elle sera victime d’une « tiers-mondisation »rampante, affirment les deux experts.

Vivre mieux et innover

Pour arracher la France à cette crise morale et économique, Frédéric Salat-Baroux et Eric Hazan esquissent « un projet, une possibilité, une promesse », qui peut surprendre : une révolution par les territoires. Comprendre : une hyperdécentralisation de la décision politique et des infrastructures de production et d’innovation. Cette réforme assurerait, selon eux, un meilleur équilibre entre les quatre niveaux d’exercice du pouvoir : les territoires, le gouvernement-Parlement, le président de la République et l’Europe. Comme les quatre chevaux blancs de Ben-Hur, une fois placés dans le bon ordre en fonction de leurs particularités, ils mèneront le char à …

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2. ENTRETIEN – « Réarmer la France par ses territoires » : l’appel d’Éric Hazan face au déclin

Propos recueillis par  Etienne Campion 14/04/2025 MARIANNE

Marianne : Vous affirmez que la France risque un déclassement économique majeur, comparable à celui de certains pays en développement : quels sont les signes concrets de ce risque, et quelles en sont, selon vous, les causes principales ?

Eric Hazan : Depuis des décennies, comme la plupart des pays développés, la France s’est enfermée dans un schéma où l’État a abandonné son rôle de stratège et dicte un développement territorial de plus en plus court-termiste, souvent au détriment des réalités locales. La Datar et sa vision d’un État au service du développement et de la promotion des territoires ont été, chez nous, largement démantelés. L’optimisation prioritaire de la variable économique, nécessaire pas suffisante, en la déconnectant de l’environnement social, culturel et écologique a montré ses limites et « pulvérisé » un grand nombre de lieux qui ont, au passage, perdu leur identité.

Notre modèle craque de toutes parts et plus largement la part de l’industrie dans le PIB national a chuté à 17 %, alors qu’elle atteint encore 24 % en Italie. Les entreprises européennes investissent trop peu dans les technologies d’avenir, creusant un écart alarmant avec les États-Unis : elles dépensent 1,8 fois moins en R & D, et cet écart explose à 500 % dans le secteur technologique. Ce retard fragilise notre compétitivité, limite notre souveraineté industrielle et accélère la relégation des classes moyennes.

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Les territoires subissent de plein fouet ces mutations. Dans les zones périurbaines et rurales, les jeunes décrochent plus souvent du système éducatif, l’accès à la formation est limité, et le chômage reste plus élevé qu’en métropole. La fracture numérique aggrave ces inégalités : 20 % des familles rurales n’ont pas d’accès Internet de qualité, freinant l’émergence d’une économie du savoir inclusive.

Ce modèle centralisé a également contribué à une montée des extrêmes. On continue de croire que l’État central peut tout et nous vivons sur un modèle hérité du XXsiècle, basé sur la dépense publique et le pilotage centralisé, qui ne permet plus d’affronter les défis économiques, technologiques et géopolitiques du XXIe siècle.

Quand les citoyens ne se sentent plus écoutés et perdent confiance en la promesse de progrès, quand ils se sentent dépossédés de leur avenir, le repli devient une tentation. Pourtant, une alternative existe : redonner aux territoires les moyens d’agir, de se développer selon leurs spécificités, et d’être les moteurs de la transition économique et sociale. Ce pays, qui a tout pour réussir, s’asphyxie. Il faut réarmer économiquement et socialement les territoires si l’on veut éviter une spirale de déclin.

L’intelligence artificielle est présentée comme un tournant crucial pour notre avenir : que devrait faire l’Europe pour ne pas rater cette révolution ?

Elle doit cesser de jouer les spectateurs et devenir un acteur stratégique. Le rapport Draghi est, à ce titre, totalement limpide. Aujourd’hui, 9 des 10 plus grandes entreprises d’IA sont américaines ou chinoises. L’Europe est largement absente car elle reste prisonnière d’un modèle perçu comme normatif, fragmenté et frileux. Nous appelons à une mobilisation massive, avec des moyens comparables à ceux du Chips Act ou de l’Inflation Reduction Act américains.

Heureusement, les annonces récentes du Sommet de l’IA et d’investissement européens importants dans la défense. Mais il faut aller encore plus loin. Les Entreprises européennes investissent deux fois moins que les États-Unis en technologie depuis plus de 10 ans. Il faut investir dans des infrastructures technologiques souveraines, former massivement, et soutenir des écosystèmes territoriaux d’innovation. Cela suppose aussi de revoir les règles de concurrence et de commande publique pour soutenir les acteurs européens émergents. Il faut aussi éviter une nouvelle fracture numérique et territoriale en accélérant le déploiement de l’IA dans les territoires.

Si nous ne faisons pas ce choix maintenant, nous deviendrons des utilisateurs passifs de technologies conçues ailleurs.

Votre projet de “reconstruction par les territoires” suppose une décentralisation renforcée : quels changements institutionnels concrets cela impliquerait-il ?

Nous défendons une hyper-décentralisation encadrée. Concrètement, cela signifie transférer des compétences stratégiques comme l’éducation, la santé ou l’aménagement aux régions ou intercommunalités. Aujourd’hui, les collectivités locales gèrent 70 % des investissements publics, mais sans autonomie stratégique ni fiscale. Il faut leur donner le pouvoir de fixer leurs priorités, d’adapter les normes, de recruter, de gérer leurs politiques de développement. L’État doit se recentrer sur ses missions régaliennes et de coordination nationale. Il s’agit moins de “moins d’État” que d’un État qui change de rôle.

Les collectivités locales sont-elles aujourd’hui en capacité de porter cette transformation, ou faut-il repenser leurs moyens et leur fonctionnement ?

Certaines sont prêtes, d’autres doivent être accompagnées. Il faudra renforcer les compétences administratives, moderniser les outils de gestion, et garantir une forme de solidarité entre territoires pour ne pas aggraver les inégalités. Nous proposons un mécanisme de péréquation renforcé et une refonte des dotations, pour qu’aucun territoire ne soit condamné à l’impuissance. Par ailleurs, nous devons simplifier le millefeuille : un seul échelon territorial opérationnel en dehors des fonctions régaliennes permettrait d’éviter la dispersion et de rendre l’action publique plus lisible. L’agilité locale est un atout décisif à condition qu’elle s’appuie sur une organisation claire, des moyens suffisants et une vraie redevabilité démocratique.

Comment conjuguer un fort enracinement local avec une ouverture internationale, sans basculer dans l’isolement ou le repli ?

Ce n’est pas contradictoire, c’est même la clé. Dans un monde globalisé, ce sont les territoires qui innovent, qui attirent les talents, qui construisent des filières. Pittsburgh, Bilbao, Matera : autant d’exemples de villes qui, en partant de leurs racines, ont su se projeter dans l’avenir et s’insérer dans des chaînes de valeur mondiales. Être enraciné, ce n’est pas se refermer ; c’est bâtir sur ses forces pour peser. C’est aussi une réponse politique à la crise de confiance : les citoyens attendent de l’État qu’il les protège, mais ils veulent aussi agir localement, être partie prenante des transformations. La technologie le permet beaucoup mieux aujourd’hui qu’hier et c’est à cette articulation entre le local et le global que nous devons travailler.

En quoi le projet local que vous proposez peut-il répondre à la “désintégration civilisationnelle” que vous décrivez dans les premiers chapitres ?

Parce que cette désintégration vient d’une triple rupture : rupture sociale, rupture territoriale, et rupture de sens. Il faut lutter contre la perte de repères et d’horizons communs. Le territoire reste une unité vivante. C’est là qu’on habite, qu’on travaille, qu’on échange. Le projet local permet de retisser du lien là où il s’est défait. Il recrée des cercles de confiance, des coopérations concrètes, des récits partagés. Il redonne du pouvoir aux gens là où ils vivent, dans leur quotidien.

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Nous ne croyons pas au retour d’un État providence central omnipotent, ni à l’illusion d’un marché qui résoudrait tout. Nous croyons en une démocratie de la proximité, enracinée, pragmatique, ouverte. C’est là que la République peut renaître. Le projet local, ce n’est pas un gadget de management public. C’est une réponse politique à la décomposition sociale. C’est une révolution tranquille, mais indispensable, pour redonner corps à l’idéal français.

3. ARTICLE – Revolution par les territoires

Lionel Fontagné 14 mars 2025 . LE CERCLE DES ÉCONOMISTES

Si vous n’avez pas beaucoup de temps, voilà l’essai qu’il vous faut lire. Vous n’allez pas vous ennuyer. Le propos est concis, les affirmations ciselées à l’aune d’une réflexion originale, les propositions « disruptives ». Il s’agit simplement … de faire la Révolution, en France mais aussi à Bruxelles.

Frédéric Salat-Baroux connaît les arcanes du pouvoir et l’intrication des quatre échelons de notre gouvernement, comparés ici aux chevaux de Ben-Hur, et Eric Hazan a une vision originale de comment la technologie peut aider à surmonter les inégalités. Point de départ de leur réflexion, les territoires et le mal être de la société française, et par extension des sociétés occidentales. La révolution consistera à redonner pouvoir et moyens à ces territoires. Plus qu’un nouvel exercice de la décentralisation, la proposition est de remettre à plat le fonctionnement de l’Etat confronté à la globalisation et au changement technologique.

La question est bien posée, pour deux raisons. Premièrement, comme nous le documentions dans « La feuille de paye et le caddie » (Editions de Sciences Po, 2021) la globalisation et en particulier le commerce international ont des effets contrastés, conduisant à une perception ambivalente de la part des citoyens. Les gains d’efficacité et l’accès à plus de variété de produits moins coûteux réduisent le prix du contenu de votre caddie, à l’origine d’un gain de pouvoir d’achat que les économistes ont pu évaluer par différentes méthodes. Mais dans le même temps, la structure de l’activité économique, et donc aussi le marché du travail, doivent s’ajuster à cette nouvelle donne. Ceci crée des gagnants et des perdants. 

Gain de pouvoir d’achat pour tous, mais perte de salaire ou de statut pour certains : le commerce mondial redistribue les cartes sociales. Tout en profitant globalement à l’économie, il pénalise les citoyens français pour qui la baisse des prix à la consommation ne compense pas les effets négatifs sur la feuille de paye. Se profilent ainsi, d’un côté, les gagnants de la mondialisation, plutôt jeunes, éduqués, bien rémunérés et urbains, de l’autre ceux dont les compétences professionnelles sont difficilement reconvertibles et qui vivent loin des grands bassins d’emploi diversifiés. Les perdants n’ont tout simplement pas hérité des bonnes cartes : exerçant des tâches aisément codifiables qui peuvent être automatisées ou délocalisées, ils sont, ou étaient, employés dans des entreprises appartenant à des secteurs concurrencés, et ceci dans des territoires concentrant ce type d’activités et de tâches. 

La globalisation s’accompagne finalement d’un déclassement social dans les territoires les plus exposés, faisant contraste avec le succès de quelques cités dans lesquelles s’agglomèrent les gagnants et leurs employeurs. Nos deux auteurs résument ce mécanisme complexe d’une formule : « aux racines de la crise occidentale, il y a la globalisation qui n’a pas été pensée politiquement et socialement ». En France on a certes redistribué du revenu, mais on n’a pas redistribué les cartes, notamment parce que l’ascenseur social et son moteur, le système méritocratique, se sont enrayés, thème auquel de très belles pages sont consacrées.

La seconde raison pour laquelle la question posée est importante est que la mondialisation met à mal l’organisation et le périmètre d’action des Etats. Dans une économie globale, et en présence de ruptures technologiques majeures, le niveau national devient sous-dimensionné, en raison de la réduction de la taille relative des Etats dans un monde en rapide expansion. Pour la France, c’est le niveau européen qui devient pertinent s’agissant d’enseignement supérieur ou de science et d’innovation. Il en va de même de la politique industrielle. Le rapport Draghi, dont l’ouvrage reprend certaines conclusions, ne dit pas autre chose quand il évoque les montants financiers en jeu. Dans le même temps, la nécessité de compenser les perdants s’accroît, et avec elle les montants à redistribuer, à mesure que ce double processus de mondialisation et de progrès technologique s’accélère l’un étant le catalyseur de l’autre. La difficulté est alors que des politiques décidées à l’échelon national, souvent sans expérimentation préalable ou évaluation ex post, peinent à corriger les problèmes auxquelles elles s’adressent.

Au-delà des frustrations crées mettant en danger les fondements des démocraties occidentales, se pose donc un double problème de nécessaire réorientation des ressources : vers l’échelon européen, lorsqu’il y a de fortes externalités positives aux investissements publics, et vers l’échelon local, lorsque le niveau national de décision publique n’a ni les outils ni l’information granulaire permettant la mise en œuvre de politiques publiques efficaces. C’est là qu’intervient la notion de « projet local » qui est en fait la colonne vertébrale de cet essai : les territoires doivent être considérés « non comme des refuges face à la mondialisation, mais comme des ressources dynamiques et des lieux d’innovation ».

Ce projet est risqué, et les auteurs n’en font pas mystère : « l’administration locale, cela peut être l’Etat en pire ». La proposition est d’abord de changer la façon de gouverner, sur un mode plus participatif, et de spécialiser l’échelon local sur « l’administration du quotidien ». Elle est ensuite de freiner l’agglomération des actifs dans les centres urbains, au bénéfice d’une revitalisation des territoires peut passer par le télétravail.

Les esprits optimistes ne manqueront pas de discuter tel ou tel élément du sombre constat constituant la motivation de l’ouvrage. Notamment, le décrochage de l’Union européenne par rapport aux Etats-Unis peut être nuancé une fois corrigés les mouvements de prix et de taux de change faussant les comparaisons en dollars courants. En parité de pouvoir d’achat, la part des Etats-Unis comme celle de l’Union européenne à 27 déclinent, l’Europe décline simplement un peu plus vite. Mais le décrochage est plus marqué pour la France : notre part dans le PIB mondial ne représente en 2024 que 64% de celle de 2000, contre 73% pour les USA. La part de la Chine, qui a pris la tête dès 2016 selon les Chiffres du Fonds Monétaire International, a quant à elle triplé depuis 2000…

 Ces nuances ne changent rien à l’affaire : la Révolution des territoires est en marche.

4. ARTICLE – Le plaidoyer pour une révolution décentralisatrice de Frédéric Salat-Baroux et Éric Hazan

Par  Anne de Guigné. 3 mars 2025 LE FIGARO

 L’ancien secrétaire général de la présidence de la République et le consultant spécialiste des technologies croient en un renouveau démocratique en région grâce à la technologie.

Frédéric Salat-Baroux et Éric Hazan ne croient pas à la méthode de la tronçonneuse pour redresser la France. Pour l’ancien secrétaire général de la présidence de la République et le consultant spécialiste des technologies, c’est en rendant la responsabilité de l’action aux Français sur les « territoires », que le pays pourra surmonter la crise actuelle. Leur essai, Révolution par les territoires. Une réponse française aux défis du monde, séduit par son association originale : un ton engagé, qui se fait même volontiers lyrique – « la littérature et la poésie demeureront toujours les carburants de l’âme »,assènent nos auteurs en introduction –, et l’ambition de la réforme proposée.

Décrochage économique, dislocation sociale, crise environnementale… Le diagnostic des deux auteurs sur la situation hexagonale n’est pas rose. Le coupable porte un nom selon eux : l’économisme, « cette idée asséchante que toute chose humaine peut se ramener à une logique de marché ». La…

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5. VIDÉO – La parole aux auteurs : Le renouveau des territoires – 01/03

Ce samedi 1er mars, Pierre-Marie Aubert, directeur du programme Politiques agricoles et alimentaires à l’IDDRI, auteur de « Vers un nouveau modèle agricole » (Éd. Odile Jacob), et Éric Hazan, associé chez Ardabelle Capital, auteur de « Révolution par les territoires : une réponse française aux défis du monde » (Éd. l’Observatoire), sont revenus sur l’éventuel rôle des territoires en tant que frein ou moteur au redressement du pays dans le domaine de l’agriculture, dans la parole aux auteurs dans l’émission la librairie de l’éco présentée par Emmanuel Lechypre. La librairie de l’éco est à voir ou écouter le samedi sur BFM Business.

LIEN VERS L’ÉMISSION

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