PRÉCÉDEMMENT SUR METAHODOS:
LES RÉALITÉS DE L’ISLAM ET DE L’ISLAMISME – LA JUSTICE SAISIE PAR LFI SUR LA PUBLICATION D’UNE ENQUÊTE DE L’IFOP
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MAJ 2 – DES RESPONSABLES MUSULMANS METTENT EN CAUSE LE SONDAGE IFOP SUR L’ISLAMISME – LFI ET LA GAUCHE AUSSI
L’ISLAM : LA RÉPUBLIQUE ET LA LAÏCITÉ, LE COMMUNAUTARISME ET LE CLIENTÉLISME : DES MUTATIONS SOCIÉTALES CONSIDÉRABLES NON PRISES EN COMPTE
https://metahodos.fr/2025/11/27/97658/
LA GRANDE MOSQUÉE ET LFI SAISISSENT L’ARCOM SUITE À LA RELATION ÉTABLIE – SUR FRANCE INFO – ENTRE ANTISÉMITISME ET QUÊTE DU VOTE MUSULMAN
23 % DES MUSULMANS PROCHES DES FRÈRES MUSULMANS
Selon le second volet de cette étude commandée par le média confidentiel « Ecran de veille », « 52 % des musulmans de France M âgés de 15 ans et plus » se disent « éloignés du courant de pensée des Frères musulmans », quand 23 % s’en disent « proches ».
Le MONDE ( « AVEC L’AFP « ) RAPPELLE LA POLÉMIQUE SANS L’ANALYSER, ET NE S’INTÉRESSE PAS AUX RÉSULTATS
Le Monde sous titre « Des questions orientées « sans analyser aucunement mais, en rappelant – uniquement – le mécontentement des religieux musulmans et de LFI qui ont porté plainte. (Voir Article 1)
Pour 46% des musulmans, la Charia a vocation à être appliquée dans les pays non-musulmans
45% des femmes musulmanes de moins de 25 ans portent le voile, soit trois fois plus qu’en 2023.
L’article 2 ( CNEWS avec l’AFP également semble t il à la lecture ) analyse : «On a l’impression que, chez les jeunes, il y a sans doute la pression des quartiers, la pression de la famille, celle des amis, des cousins ou peut-être aussi, la pression d’organisations »
44% des musulmans pensent que les règles de l’Islam sont plus importantes que les lois françaises.
1. ARTICLE – Publication du second volet du sondage controversé de l’IFOP sur l’islam en France
Le média confidentiel Ecran de veille, initiateur d’un sondage de l’IFOP sur le « rapport à l’islam et à l’islamisme des musulmans de France » au cœur d’une polémique en novembre, publie vendredi 19 décembre un second volet portant sur « l’implantation des Frères musulmans ».
Pour mesurer le « degré d’influence de l’islamisme politique », cette revue appartenant au groupe Global Watch Analysis (GWA), qui se présente comme « le mensuel pour résister aux fanatismes », a analysé les réponses obtenues par l’IFOP auprès d’un échantillon de 1 005 personnes de confession musulmane vivant en France métropolitaine, en utilisant ses propres indicateurs, conçus avec des experts supervisés par le média lui-même.
L’IFOP, contactée par l’Agence France-Presse (AFP), assure avoir « administré l’enquête » et « traité les données » tout en précisant que « l’analyse et l’interprétation des résultats sont du ressort des chercheurs d’Ecran de veille ». « Cela n’a rien d’exceptionnel. Il s’agit par ailleurs d’indicateurs pointus qui ont été validés par l’IFOP mais qui ne relèvent pas de notre champ de compétence », précise François Kraus, directeur du pôle politique et actualités de l’IFOP.
« Questions orientées »
Selon le second volet de cette étude, menée par téléphone du 8 août au 2 septembre, « 23 % des musulmans de France âgés de 15 ans et plus » se disent « proches du courant de pensée des Frères musulmans », à des degrés divers, plus de la moitié (52 %) en étant « éloignés ».
La publication du premier volet, en novembre, portant sur le rapport des fidèles à l’islam, notamment des jeunes musulmans, avait suscité de vives réactions. Des associations du culte musulman ont porté plainte, dénonçant des « questions orientées », ce qu’a contesté l’institut de sondage, qui a défendu sa méthodologie et a annoncé une plainte contre deux députés de La France insoumise dénigrant cette enquête.
Publié en mai dernier, un rapport également controversé sur les Frères musulmans commandé par le gouvernement français avait mis en garde contre une « menace pour la cohésion nationale » avec le développement d’un islamisme « par le bas ».
En juillet, Emmanuel Macron avait annoncé plusieurs mesures pour mieux lutter contre l’islamisme, par le biais de sanctions financières et une surveillance accrue et des associations.
2. ARTICLE – «IMPLANTATION DES FRÈRES MUSULMANS» : L’IFOP PUBLIE LE SECOND VOLET DE SON SONDAGE SUR L’ISLAM EN FRANCE
Par CNEWS
Publié le 20/12/2025 à 17:05 – Mis à jour le 20/12/2025
Le média Ecran de veille a publié un second volet du sondage qu’il avait initié auprès de l’Ifop en novembre dernier, sur le «rapport à l’islam et à l’islamisme des musulmans de France». Cette fois-ci, «l’implantation des Frères musulmans» est au cœur du sujet.
Des chiffres préoccupants. Le média Ecran de veille, «dédié à la résistance aux extrémismes et aux fanatismes sous toutes leurs formes», a publié la seconde partie d’un sondage révélé en novembre dernier et réalisé par l’Ifop sur l’Islam et l’islamisme en France.
Ainsi, pour mesurer le «degré d’influence de l’islamisme politique», la revue a analysé les réponses obtenues par téléphone par l’Ifop auprès d’un échantillon de 1.005 personnes de religion musulmane, vivant en France métropolitaine et interrogées entre le 8 août et le 2 septembre 2025. Le média a utilisé ses propres indicateurs, conçus avec des experts supervisés.
Et pour 46% des sondés, la Charia a vocation à être appliquée dans les pays non-musulmans. Un constat qui ne surprend pas Claude Moniquet, spécialiste du terrorisme et du renseignement, interrogé par CNEWS : «En règle générale, on a un chiffre qui est plus près de 30 ou 33%, surtout chez les jeunes musulmans qui connaissent assez mal leur religion».
«Je me souviens d’un sondage, qui avait eu lieu il y a une vingtaine d’années, où on avait interrogé des jeunes dans des banlieues qui se considéraient eux-mêmes comme étant des musulmans pratiquants et qui étaient totalement incapables de citer les cinq obligations de l’Islam», a-t-il également ajouté.
DES DONNÉES EN HAUSSE
Autre enseignement, 45% des femmes musulmanes de moins de 25 ans portent le voile, soit trois fois plus qu’en 2023. «On a l’impression que, chez les jeunes, il y a sans doute la pression des quartiers, la pression de la famille, celle des amis, des cousins ou peut-être aussi, la pression d’organisations. Chez les femmes plus âgées, de plus de 50 ans, il y a une attitude beaucoup plus réservée», a expliqué Claude Moniquet.
Toujours selon ce sondage, 44% des musulmans pensent que les règles de l’Islam sont plus importantes que les lois françaises. De plus, «23% des musulmans de France âgés de 15 ans et plus» se disent «proches du courant de pensée des Frères musulmans», à des degrés divers. À noter que plus de la moitié, 52%, a estimé en être «éloignée».
UN RAPPORT COMMANDÉ PAR LE GOUVERNEMENT
La publication du premier volet, en novembre, portant sur le rapport des fidèles à l’islam, notamment des jeunes musulmans, avait suscité de vives réactions. Des associations du culte musulman avaient notamment porté plainte, dénonçant des «questions orientées», ce qu’a contesté l’Ifop, qui a défendu sa méthodologie et qui a, à son tour, porté plainte contre deux députés LFI dénigrant cette enquête.
Publié en mai dernier, un rapport sur les Frères musulmans, commandé par le gouvernement français cette fois-ci, avait également mis en garde contre une «menace pour la cohésion nationale» avec le développement d’un islamisme «par le bas».
En juillet dernier, le président Emmanuel Macron avait par ailleurs annoncé plusieurs «mesures d’entrave» pour mieux lutter contre l’islamisme, via notamment des sanctions financières et une surveillance accrue des associations. En 2025, la France compte près de 4 millions de musulmans.
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