
Les arguments – de très nombreuses personnalités – pour une démission qui devrait s’imposer en démocratie
La démission d’Emmanuel Macron a été argumentée tant par des alliés que par des opposants politiques, des experts et analystes politiques … les français également.
LES FONDEMENTS
– la crise institutionnelle profonde,
– la panne démocratique, Certains analystes et commentateurs estiment que la répétition des échecs politiques et l’impuissance du Parlement face à la crise renforcent l’idée d’un système dysfonctionnel sous la présidence de Macron. Pour une partie de l’opinion, le départ du président est vu comme une solution pour relancer le fonctionnement démocratique normal du pays.
– l’impossibilité de toute réforme,
– la crise financière ( dette abyssale ) avec une responsabilité de 1460 MILLIARDS
– la crise des services publics majeurs : sécurité, santé, logement…
– Parlement sans majorité stable
Après les élections législatives de 2024, aucune majorité claire n’a émergé cela a conduit à une instabilité politique extrême avec plusieurs gouvernements successifs incapables de durer ou de faire passer des mesures importantes.
– Cinq Premiers ministres en moins de deux ans
Cette succession rapide (y compris Sébastien Lecornu qui a démissionné très vite) est vue comme un signe d’impasse institutionnelle et d’échec de la direction politique depuis l’Élysée.
– Pour beaucoup de Français, cette incapacité à gouverner efficacement renforce l’idée que le chef de l’État est responsable de la situation.
– Conséquences économiques concrètes :
Hausse des taux d’intérêt, ralentissement de la croissance, épargne élevée au lieu de consommation, et crainte de faillites ont rendu visible la fragilité économique.
– Érosion de la confiance
La perception que Macron n’est plus capable de répondre aux défis politiques et économiques a généré une défiance profonde.
PLUS DE 130 PERSONNALITÉS DEMANDENT LA DÉMISSION
« De Mélenchon à Fillon, itinéraire d’une idée radicale devenue mainstream »
( VOIR ARTICLE 1 )
– La France insoumise (LFI), dirigée par Jean-Luc Mélenchon, réclame sans cesse cette démission depuis 2024, l’accusant d’être à l’origine du “chaos” politique, et a tenté d’enclencher des procédures de destitution en octobre 2024 et 2025.
– Édouard Philippe, ancien Premier ministre et président d’Horizons, a proposé en octobre 2025 un scénario de démission après le vote du budget 2026, suivi d’une élection présidentielle anticipée.
– Des figures comme Florian Philippot (Les Patriotes) et le Rassemblement national ont relayé des archives de 2019 où
– Macron évoquait lui-même un départ en cas de “désaveu majoritaire”. En 2019 :
«Le président ne devrait pas pouvoir rester s’il avait un vrai désaveu»
En décembre 2024 Emmanuel Macron annonce qu’il
exercera « pleinement » son mandat de président de la République « jusqu’à son terme »
– 70% des Français se déclarent pour la démission de Macron ( en octobre 2025 selon Odoxa).
– Des manifestations de masse à Paris et dans d’autres villes ont vu des milliers de personnes demander la démission de Macron, souvent liées à la colère contre les politiques d’austérité et la réforme des retraites.
– Des débats constitutionnels portent sur l’article 7 permettant une vacance programmée, sans que Macron n’ait démissionné à ce jour (décembre 2025). L’hypothèse divise : marginale à droite initialement, elle gagne en poids face à l’instabilité.
– plusieurs experts constitutionnalistes, historiens et analystes politiques ont évoqué l’hypothèse d’une démission d’Emmanuel Macron dans le contexte de la crise politique française de 2024-2025.
– le Club des Juristes a analysé en octobre 2025 les scénarios juridiques d’une démission volontaire, soulignant qu’elle pourrait survenir en cas de censure généralisée des gouvernements ou de désaveu électoral massif post-dissolution, sans résoudre automatiquement la question de la majorité parlementaire.
– chez les Surligneurs, des juristes examinent si Macron pourrait démissionner et se représenter, citant l’historien Marc Lazar qui juge cela possible malgré les obstacles légaux.
– des à analystes internationaux et économiques : L’expert britannique John Keiger met en garde dans L’Express contre une démission prématurée, arguant qu’elle risquerait d’ouvrir la voie au Rassemblement national sans front républicain efficace, dans un contexte d’instabilité post-dissolution.
– un ancien économiste du FMI – Desmond Lachman – avertit – encore il y a quelques jours – que les marchés financiers pourraient forcer Macron à démissionner si la crise budgétaire persiste. VOIR LES ARTICLES 2 ET 2bis
« Emmanuel Macron doit démissionner, sinon les marchés l’y contraindront » :
l’avertissement du numéro 2 du FMI, Desmond Lachman
– Dominique Chagnollaud, constitutionnaliste et professeur émérite, décrypte les mécanismes d’une démission comme solution ultime face à un blocage persistant des candidatures à Matignon et à des chutes répétées de gouvernements, sans majorité claire.
– Pierre Serna, historien spécialiste de la Révolution française et professeur à Paris-I Panthéon-Sorbonne, critique Macron pour son déni de responsabilité dans la crise, voyant dans les secousses actuelles un avatar de l’“extrême centre” thermidorien pouvant mener à une sortie forcée.
– Marc Lazar, historien et sociologue politique, affirme qu’une démission suivrait d’une candidature renouvelée à la présidentielle, juridiquement possible malgré les spéculations post-dissolution.
– Ivan Letessier et Louise Darbon ont signé un article : «Human Bomb est à l’Élysée !» : les grands patrons catastrophés par le chaos politique français Le 11 octobre 2025 LE FIGARO ( VOIR L’ARTICLE 3 )
« Jamais écrivent – ils la colère et la défiance des dirigeants d’entreprise envers les responsables politiques français n’ont été aussi fortes. »
– Hervé Morin, président de la région Normandie et ancien ministre, a appelé à une démission immédiate suivie d’une présidentielle anticipée après la censure de gouvernements successifs.
– Gabriel Attal, a exprimé qu’il pensait qu’il serait préférable que Macron parte ou qu’il organise d’autres élections
– Bruno Retailleau, président des Républicains, exprime un souhait personnel qu’il la prenne lui-même, invoquant l’exemple du général de Gaulle qui avait démissionné en 1969 face à un désaveu. Sur RTL le 29 octobre 2025, Retailleau répond “Bien sûr” à la question de savoir s’il souhaite une démission, tout en refusant d’en endosser la responsabilité pour ne pas fragiliser la fonction présidentielle. Il liste trois voies pour un retour aux urnes : démission, référendum ou dissolution, insistant que “c’est au président de choisir” face à la crise budgétaire et gouvernementale.
– Jean-François Copé, maire de Meaux et ex-patron de l’UMP, plaide pour un scrutin en février-mars 2025, jugeant Macron incapable de tenir jusqu’en 2027.
– David Lisnard, maire de Cannes, qualifie Macron de “premier responsable” et rejette une nouvelle dissolution au profit d’une démission
– François Fillon, ancien Premier ministre, a récemment appelé à la démission d’Emmanuel Macron dans une interview au Figaro en décembre 2025, critiquant la dette publique et l’état du pays
-,Charles de Courson (LIOT) demande un départ anticipé face au chaos politique
Charles de Courson, rapporteur général du budget et membre du groupe Liot, a déclaré sans détour que « la seule solution (à la crise politique actuelle, NDLR), ce serait une démission du président ». Selon lui, le blocage institutionnel issu de la dissolution de l’Assemblée nationale rend toute tentative de gouvernance impossible, quel que soit le Premier ministre nommé. « Qui est à l’origine du chaos politique ? C’est bien le président de la République, lorsqu’il a fait cette dissolution que même ses propres amis n’ont pas comprise », l’a ainsi accusé Charles de Courson sur LCI
-,Sébastien Chenu (RN) également
– Christophe Gomart, général et eurodéputé du parti Les Républicains (LR), a déclaré publiquement qu’« Emmanuel Macron doit démissionner ».
– Jordan Bardella, président du Rassemblement national, a appelé ce mardi soir Emmanuel Macron à annoncer « une dissolution » ou « sa démission » pour « sortir de l’impasse ». François Bayrou a déclenché lundi un vote de confiance, prévu le 8 septembre à l’Assemblée.
-, »La seule solution c’est la démission d’Emmanuel Macron » selon Nicolas Dupont-Aignan, Président de Debout la France. Il était “L’invité(e) politique” sur Sud Radio.
– François-Xavier Bellamy (Les Républicains) critique le gouvernement Macron et dit qu’il faut renouveler l’action politique — certains articles rapportent qu’il plaide pour un changement majeur, parfois interprété comme une pression pour le départ du président.
– Sarah Knafo (députée européenne liée à l’aile droite ) a appelé ouvertement à la démission du président, estimant que « le problème est à l’Élysée ».
– 104 députés dont 71 de La France insoumise (LFI), menés par Mathilde Panot, ont signé en septembre 2025 une proposition de résolution pour destituer Macron, équivalente à un appel indirect à sa démission après la chute de François Bayrou.
– neuf députés du groupe Gauche démocrate et républicaine (GDR), dont Elsa Faucillon, Jean-Paul Lecoq et André Chassaigne, ainsi que
– six du groupe Ecologiste et social (Clémentine Autain, Alexis Corbière, Sandrine Rousseau) ont co-signé, portant le total à 86 puis 104 signataires.
VOIR EN POINT 4 NOS PRÉCÉDENTES PUBLICATIONS
1. ARTICLE – Démission de Macron : de Mélenchon à Fillon, itinéraire d’une idée radicale devenue mainstream
A chaque soubresaut depuis la dissolution de 2024, les insoumis réclament la destitution du chef de l’Etat, tandis que plusieurs voix à droite ont évoqué le scénario d’une présidentielle anticipée.
ParVictor Boiteau 25/12/2025
Sur le perron de l’Elysée ? Ou un plateau de télévision ? Version light ou mise en scène pompeuse ? Nocturne, comme Michel Rocard en 1985, ou en plein jour ?
La démission en politique, c’est tout un art. Un geste ultime, surprise ou prétexte, pour rendre les clés du pouvoir. Huit ans après l’élection d’Emmanuel Macron à l’Elysée, et un second mandat percuté par des crises à répétition, certains de ses opposants ont imaginé le scénario de son départ.
De Jean-Luc Mélenchon à François Fillon, en passant par son ex-Premier ministre Edouard Philippe, l’idée a fait son chemin depuis la dissolution ratée de 2024.
Ou comment une proposition radicale venue des rives de La France insoumise (LFI) est quasiment devenue mainstream.
…/…
2. ARTICLE – « Emmanuel Macron doit démissionner, sinon les marchés l’y contraindront » : l’avertissement d’un ex-économiste du FMI
Grand entretien. Selon Desmond Lachman, ancien directeur adjoint du FMI, la crise que traverse la France « pourrait s’étendre au reste de la zone euro, voire ébranler les marchés mondiaux ». Quant à l’avenir du chef de l’État à l’Élysée, il ne tient plus qu’à un fil… que les marchés pourraient bien rompre.
Propos recueillis par Laurent Berbon L’EXPRESS. Publié le 07/10/2025
Au vu de la tempête financière qui menace la France, « la meilleure chose qu’Emmanuel Macron pourrait faire serait de convoquer une élection présidentielle anticipée, plutôt que de maintenir le pays dans l’incertitude pendant encore un an et demi », estime l’économiste Desmond Lachman.
Ancien directeur adjoint du FMI, Desmond Lachman a analysé avec l’œil d’un lynx la gravité des crises de la dette grecque et de la zone euro. Aujourd’hui, il scrute de près l’état des finances françaises. Il y a tout juste une semaine, ce chercheur à l’American Enterprise Institute s’alarmait de la situation économique de la France dans un billet publié sur le site de ce think tank libéral, estimant que ses finances publiques, « devenues intenables », et sa politique « dysfonctionnelle » pourraient représenter « une menace existentielle pour l’euro ». Autant dire qu’après le séisme provoqué par la démission surprise de Sébastien Lecornu du poste de Premier ministre, cet économiste américain d’origine sud-africaine ne semble pas près de revoir son jugement, lui qui écrivait récemment qu’il serait difficile pour la France d’éviter une crise économique en 2026. Une crise « qui pourrait se propager au reste de la zone euro et même ébranler les marchés mondiaux ».
D’après Desmond Lachman, la Banque centrale européenne (BCE) pourrait intervenir si la France venait à subir une forte pression des marchés, mais « cela ne se fera pas sans contreparties ». Quant au président Emmanuel Macron, désormais seul face à la crise, « la meilleure chose qu’il pourrait faire serait de convoquer une présidentielle anticipée, plutôt que de maintenir tout le monde dans l’incertitude pendant un an et demi ». Mais si la situation devient critique, « ce seront les marchés qui l’y contraindront », prévient-il. Entretien.
L’Express : En tant qu’observateur avisé, que vous inspire la nouvelle crise politique que traverse la France ?
Desmond Lachman : La crise s’accélère. D’un point de vue strictement économique, la France est dans un grand désordre budgétaire. Elle affiche un important déficit public, un niveau d’endettement très élevé et ce qui semble évident depuis un an ou deux, c’est qu’elle n’a pas la volonté politique de s’attaquer à ce problème. Les récents événements confirment qu’aucune solution rapide n’est en vue. Si Sébastien Lecornu n’a pas réussi à constituer un gouvernement capable de faire adopter un budget, pourquoi penser que son successeur y parviendrait ?
La piste la plus probable semble être une dissolution de l’Assemblée nationale. Or, du point de vue des marchés, cela crée une incertitude majeure, car nul ne sait quel sera le résultat de ces élections. Les marchés demeurent dans l’expectative. Et dans ce genre de contexte, ils ne seront pas disposés à prêter de l’argent à la France aux taux d’intérêt actuels. On l’a vu ce lundi : ces taux ont atteint leur plus haut niveau depuis.
2 BIS – « MACRON DOIT DÉMISSIONNER OU LES MARCHÉS LE FORCERONT » : L’ANCIEN DU FMI LÂCHE UNE BOMBE NUCLÉAIRE SUR L’ÉLYSÉE !
27 décembre 2025 dans le Financial Times
L’avertissement terrifiant de Desmond Lachman, ex-numéro 2 du FMI
Dans une tribune publiée le 27 décembre 2025 dans le Financial Times et relayée massivement en France, Desmond Lachman, ancien directeur adjoint du département Europe du Fonds monétaire international, tire la sonnette d’alarme de manière brutale. Pour lui, la France est entrée dans une « spirale infernale » : déficit public hors de contrôle (prévu à 6,1 % du PIB en 2025 selon les dernières estimations), dette publique qui frôle les 115 % du PIB, absence de majorité parlementaire pour voter un budget sérieux, et un président qui semble incapable de reprendre la main.
Lachman ne mâche pas ses mots : « Emmanuel Macron doit démissionner, sinon les marchés l’y contraindront. » Il prédit que les investisseurs internationaux, déjà nerveux face à l’instabilité politique française, pourraient exiger des rendements beaucoup plus élevés sur la dette tricolore, rendant le refinancement insoutenable. Pire : il avertit que cette crise pourrait « s’étendre au reste de la zone euro, voire ébranler les marchés mondiaux », comparant la situation actuelle à celle de la Grèce en 2010, mais avec un pays beaucoup plus grand et systémique.
Une France au bord du précipice financier et politique
L’ancien du FMI pointe plusieurs facteurs explosifs : l’échec répété des lois de finances 2025 et 2026, l’utilisation répétée du 49.3 qui mine la légitimité du gouvernement, la montée des taux d’intérêt qui renchérit le coût de la dette, et l’absence totale de réformes structurelles sérieuses depuis des années. Selon Lachman, les marchés ont déjà commencé à sanctionner la France : l’écart de taux (spread) entre l’OAT français et le Bund allemand a atteint des niveaux records depuis 2012, signe que les investisseurs doutent de la capacité de Paris à rembourser sans aide extérieure.
Il estime que sans un changement radical – soit une démission de Macron ouvrant la voie à un gouvernement d’union nationale ou une dissolution suivie d’élections anticipées – la France risque une crise de confiance majeure. « Les marchés ne pardonnent pas l’instabilité prolongée », insiste-t-il, rappelant que l’Italie de Berlusconi et la Grèce de Papandréou ont été forcés de partir sous la pression des investisseurs. Pour Lachman, Macron est désormais « à la merci des marchés » : un simple mouvement de panique sur les obligations françaises pourrait faire tomber l’édifice en quelques semaines.
Les conséquences possibles pour la France et l’Europe
Si Lachman a raison, les enjeux sont colossaux. Une crise française majeure aurait des répercussions immédiates sur l’euro, sur les banques européennes fortement exposées à la dette tricolore, et sur la crédibilité même de l’Union économique et monétaire. Bruxelles et Francfort pourraient être contraints d’intervenir via un plan de sauvetage ou un durcissement des règles budgétaires, au risque de raviver les tensions souverainistes.
Politiquement, une démission forcée de Macron ou une capitulation face aux marchés marquerait la fin humiliante d’un quinquennat qui se voulait « jupitérien ». Mais Lachman laisse une porte ouverte : un sursaut radical, avec des coupes budgétaires massives et une réforme constitutionnelle pour sortir de la paralysie, pourrait encore sauver la situation. Reste à savoir si Macron, connu pour son obstination, acceptera de céder ou préférera jouer le tout pour le tout jusqu’au bout.
La France est-elle condamnée à plier devant les marchés, ou va-t-elle trouver la force de se réinventer ? Le verdict des investisseurs pourrait bien être plus rapide et plus impitoyable que celui des urnes. L’heure est grave : l’Élysée tient-il encore debout, ou les marchés ont-ils déjà décidé ?
3. ARTICLE – «Human Bomb est à l’Élysée !» : les grands patrons catastrophés par le chaos politique français
ENQUÊTE – Jamais la colère et la défiance des dirigeants d’entreprise envers les responsables politiques français n’ont été aussi fortes.
Par Ivan Letessier et Louise Darbon avec les Services Économie et Entreprises
Le 11 octobre 2025 LE FIGARO
« J’en ai ras le bol de faire visiter notre usine à des ministres qui changent tout le temps, lâche Emmanuel Vasseneix, PDG de LSDH, groupe agroalimentaire du Centre-Val de Loire. De Gaulle avait un cap. Nous, nous n’avons plus ni cap ni solidité politique. Les hommes politiques jouent avec notre argent, nos économies et notre modèle social. C’est un manque de responsabilité et de respect vis-à-vis des électeurs et des institutions. Jusqu’où doit-on tomber pour avoir un sursaut ? Je ne vois pas comment le prochain premier ministre ne va pas se gaufrer comme les précédents… »
La folle semaine politique qui vient de s’écouler a encore creusé l’écart entre les dirigeants d’entreprise et les responsables politiques. Responsables ? Irresponsables, plutôt, à en juger par la colère et les commentaires acerbes, et la plupart du temps sous couvert d’anonymat, de tous les dirigeants interrogés par Le Figaro. « Ils sont complètement nuls, résume le patron d’un géant des médias. Le spectacle est lamentable et il n’y en a pas un pour rattraper l’autre. Cela fait cinquante ans qu’ils sont nuls, cela fait cinquante ans qu’ils surpromettent et qu’ils sous-délivrent. Dans n’importe quelle société privée, ils auraient tous été virés. Et une fois qu’ils échouent, ils montent volontairement les Français les uns contre les autres pour se dédouaner…
4. NOS PRÉCÉDENTES PUBLICATIONS
DISSOLUTION, DÉMISSION, GUERRE CIVILE ET PLEINS POUVOIRS … ET LA DESTITUTION : LES BOMBES À FRAGMENTATION MULTIPLE – MISE À JOUR
LA DÉMISSION DE MACRON POUR ÉVITER UNE CRISE GRAVE DES MARCHÉS EUROPÉENS ?
https://metahodos.fr/2025/10/09/95753/
MAJ – LE « SAUGRENU » EN DÉMOCRATIE – EN FINIR AVEC UBU OU « LE BAL DES PIEDS NICKELÉS »
E MACRON AURA MIS EN ÉCHEC LE PRÉSIDENTIALISME … ET LE PARLEMENTARISME ?
« EMMANUEL MACRON ET LA DEMOCRATIE : UNE RELATION CONTRARIEE » Point de vue
https://metahodos.fr/2022/04/15/emmanuel-macron-et-la-democratie-une-relation-contrariee/
LA CRISE DU REGIME MACRON DOIT SE CONCLURE PAR UNE RUPTURE DEMOCRATIQUE
LA FRANCE VUE DE L’ÉTRANGER (1) : « CHAOS TOTAL », « MACRON À BOUT DE SOUFFLE », « PAYS EPUISÉ »
https://metahodos.fr/2025/10/09/la-france-vue-de-letranger/
MAJ – LE « SAUGRENU » EN DEMOCRATIE – EN FINIR AVEC UBU OU « LE BAL DES PIEDS NICKELES »