Aller au contenu principal

L’INSEE REFUSANT DE COMPTER LES PERSONNES SANS ABRIS, LES MAIRES DEVRONT-ILS LE FAIRE ? – LA PROMESSE (20) DU « ZÉRO SDF »

ZÉRO SDF, QUID DE CETTE PROMESSE PRÉSIDENTIELLE ?

De Jospin à Macron, les candidats à la présidentielle ont souvent promis de fournir un logement à toutes les personnes sans-abri. Un objectif qui semble de moins en moins atteignable.

ZERO SDF, QUID DE CETTE PROMESSE ELECTORALE ? https://metahodos.fr/2022/01/07/zero-sdf-une-promesse-electorale-impossible-a-tenir/

Une proposition de loi pour assurer / par les maires – un décompte annuel du nombre de personnes contraintes de dormir à la rue

C’est le modèle de la Nuit de la Solidarité organisée par la ville de Paris. ( VOIR L’ARTICLE CI CONTRE DE JUILLET 2023)

Plus de 3 000 personnes ( plus 400 par rapport à 2022 ) se retrouvent – décompte de février – sans solution d’hébergement dans les rues de Paris , avait indiqué la mairie jeudi 9 février, à la suite de l’opération « Nuit de la solidarité ». Une situation « extrêmement préoccupante », s’alarme la ville de Paris.

619 personnes ont été rencontrées la même nuit dans les 27 communes volontaires de la Métropole du Grand Paris,

817 personnes à la rue ont été recensées la nuit du 27 juin dans 3 arrondissements de Paris en mai, contre 707 dans les trois mêmes arrondissements en janvier dernier, soit une hausse de 15,5 %

Entre 700 et 800 personnes sont actuellement sans-abri à Lyon selon les estimations de la municipalité « au regard du nombre de squats et de campements »

Selon des chiffres de 2019, environ 14 000 personnes se sont trouvées en situation de sans-abrisme au moins une fois dans l’année a MARSEILLE

UN DÉCOMPTE, UN DIAGNOSTIC, DES ACTIONS

La proposition de loi prévoit un décompte – l’Etat et son bras armé l’INSEE refusant obstinément de le faire – afin notamment d’établir un diagnostic objectif des besoins d’hébergement et plus globalement des services permettant de répondre aux besoins fondamentaux de toutes les personnes en situation de grande exclusion.

En effet, c’est première étape nécessaire à l’élaboration d’une réelle politique de mise à l’abri des personnes sans abri, à la prévention des situations de grande exclusion et à l’insertion durable des publics concernés consiste à recenser précisément les besoins dans toutes les communes.

À la suite du décompte et du diagnostic un rapport sera transmis à la représentation nationale, comprenant les éléments du diagnostic et une liste de recommandations et d’actions.

L’INSEE – PRÉTEXTANT LA COMPLEXITÉ D’UN TEL DÉCOMPTE – A TOUJOURS REFUSÉ DE LE RÉALISER

CITATION D’NE DÉCLARATION ( TITRE D’UN ARTICLE DE 2021 ) SURRÉALISTE DE L’INSEE : « Connaître les personnes sans domicile est encore plus important que les dénombrer »

SUITE : « Dénombrer les personnes sans domicile suppose de traiter de nombreux problèmes méthodologiques : définir ceux qui relèvent de cette condition, identifier les lieux à enquêter pour éviter des oublis, agir vite pour limiter les doubles-comptes, mobiliser beaucoup d’acteurs, quadriller méthodiquement le territoire, etc. Mais dénombrer ne suffit pas pour servir les politiques publiques en direction de ces personnes. Il est encore plus important de connaître les profils des personnes sans domicile et leurs parcours de vie, afin notamment de dépasser l’idée fausse d’une population homogène et de proposer aux personnes sans domicile un accompagnement et une aide adaptés. Des dispositifs locaux existent, comme les Nuits de la solidarité. Ils sont utiles mais partiels. La statistique publique mène des réflexions en vue d’une possible nouvelle enquête nationale, qui s’articulerait avec ces initiatives et, plus largement, avec les différents dispositifs d’observation existants. »

L’INSEE a annoncé récemment qu’elle publiera en 2026 une étude sur ce sujet. La dernière enquête de cette ampleur remonte à 2012,

Voici les publications antérieures de Metahodos :

POURQUOI L’INSEE N’EST PAS EN MESURE D’EVALUER LE NOMBRE DE PERSONNES SANS DOMICILE ? https://metahodos.fr/2022/01/08/connaitre-les-personnes-sans-domicile-est-encore-plus-important-que-les-denombrer/

LES DANGERS DE LA STATISTIQUE : INTERPRÉTATIONS IRRATIONNELLES, DÉCISIONS INFONDÉES – SONDAGES https://metahodos.fr › 2022/09/10LES DANGERS DE LA STATISTIQUE – metahodos.fr10 sept. 2022 —

Estimation de la Fondation Abbé Pierre : doublement en 10 ans : 330 000 (et 5,15 Millions de Mals logés)

Selon la Fondation Abbé Pierre, le nombre de personnes sans domicile en France a plus que doublé en dix ans. Le nombre est évalué à environ 330.000 dans un rapport annuel présenté en début d’année. Au total, 4,15 millions de personnes sont mal logées,

VOIR CERTAINES DE NOS AUTRES PUBLICATIONS SUR LA PAUVRETÉ EN FIN D’ARTICLE

1. PROPOSITION DE LOI

Décompte annuel des personnes sans abri dans chaque commune

Texte n° 861 (2022-2023) de M. Rémi FÉRAUD et plusieurs de ses collègues, déposé au Sénat le 6 juillet 2023

EXPOSÉ DES MOTIFS

Présenté le 1er février 2023, le dernier rapport de la Fondation Abbé Pierre sur l’état du mal-logement en France fait état de plus de 4 millions de personnes mal logées, dont 1 million est privé de logement personnel. Parmi ceux-ci, la Fondation estime à 330 000 le nombre de personnes sans domicile fixe, qu’elles vivent à la rue, en abri de fortune, à l’hôtel, en centre d’accueil pour demandeurs d’asile (CADA) ou en hébergement généraliste.

Ces chiffres records se traduisent concrètement par des situations de détresse sociale que nous constatons chaque jour dans nos territoires : enfants vivant dans l’incertitude quotidienne de l’accès à une place d’hébergement, personnes sans abri, familles trouvant refuge dans des voitures, les urgences hospitalières ou des halls d’immeubles, recrudescence de la précarité alimentaire, difficulté des associations à faire face à ces situations…

La période actuelle est particulièrement préoccupante car, comme le souligne la Fondation Abbé Pierre, elle conjugue plusieurs facteurs de fragilisation de personnes d’ores et déjà en situation de vulnérabilité : hausse des prix de l’énergie et des denrées alimentaires à cause du retour de la guerre aux portes de l’Europe, arrivées soutenues de personnes fuyant leur pays d’origine pour trouver refuge en France, saturation des dispositifs d’hébergement d’urgence, sans oublier les crises sociale et climatique.

Notre pays connaît par ailleurs une grave crise du logement, avec un nombre de ménages en attente d’un logement social plus élevé que jamais (2,42 millions), comme celui des personnes sans abri évoqué plus haut, alors qu’on observe une chute libre de la construction de logements neufs et un blocage du marché locatif. Ainsi, 359 200 chantiers de nouveaux logements ont été entamés sur les douze derniers mois, soit une baisse de 8 % par rapport à l’année 2021-2022, et à un niveau toujours très en-deçà du niveau pré-crise sanitaire. La tendance générale est également à la baisse, avec comme conséquence une hausse des prix de l’immobilier et une baisse mécanique de la production de logements sociaux.

Parallèlement, le marché locatif est pris en tenaille entre un accès plus difficile de l’accès à la propriété et une saturation du parc social. Selon un rapport du site Bien’ici, qui recense les annonces des principales agences immobilières françaises, l’offre de biens à louer a été divisée par deux entre 2019 et 2023. La situation continue de se dégrader, avec 17 % d’annonces en moins au premier trimestre 2023 par rapport à 2022.

La situation du logement est donc extrêmement tendue et les professionnels du secteur craignent une explosion en l’absence de mesures fortes de l’exécutif. Or, au terme des travaux du Conseil national de la refondation, le gouvernement a dévoilé au début du mois de juin 2023 des mesures très insuffisantes unanimement critiquées, par les acteurs du bâtiment comme ceux du logement et de la solidarité.

La déception est d’autant plus grande que le mal logement constitue l’une des manifestations les plus graves de la pauvreté dans notre pays. Des mesures fortes sont nécessaires pour répondre à l’accroissement de la précarité dans notre pays : adopter une loi de programmation et de planification des places d’hébergement à la hauteur des besoins, lever les freins financiers à la production de logement abordable et de logement social, déployer un plan d’urgence pour la prise en charge des enfants et des familles sans solution en associant la communauté éducative, ouvrir des centres de premier accueil répartis sur l’ensemble du territoire pour les personnes venant chercher refuge en France, ouvrir des États généraux de l’aide alimentaire en partant de diagnostics territoriaux.

Solidarités nationale et territoriale, accès au « logement d’abord » chaque fois que c’est possible, accueil dans de bonnes conditions des personnes réfugiées, réponse à l’augmentation continue des besoins observés pour l’aide alimentaire dans un contexte de hausse du coût des denrées alimentaires et de l’énergie : face à la démobilisation de l’État, des solutions alternatives mais nécessairement provisoires et insuffisantes se mettent souvent en place à l’initiative des collectivités locales.

Des milliers d’acteurs associatifs, d’élus locaux, de volontaires se mobilisent ainsi pour aller chaque jour à la rencontre des personnes sans abri. Les maires et présidents d’exécutifs territoriaux ne cessent de le répéter : des solutions existent pour enrayer la spirale négative de la précarité et de l’exclusion, et sans mettre en concurrence les différents publics concernés, comme c’est si souvent le cas.

Depuis 2018, la Ville de Paris a ainsi lancé la Nuit de la Solidarité, une opération de décompte de nuit des personnes sans-abri, qui se tient chaque hiver et mobilise plus de 2 000 bénévoles et professionnels du social. L’objectif est de compter à un instant T le nombre de personnes en situation de rue, n’ayant donc pas d’endroit où dormir pour la nuit ou étant installées dans des lieux impropres au sommeil : voiture, tente, hall d’immeubles…

Cette opération permet également de mieux appréhender le profil des personnes décomptées et leurs besoins, le but étant in fine de faire progresser les dispositifs et les politiques publiques d’accueil, d’hébergement et d’insertion. Son succès est reconnu au-delà du territoire parisien et de nombreuses communes s’en sont saisi et organisent à leur tour une opération similaire : en 2022, de nombreuses villes de la métropole du Grand Paris y ont participé : Aubervilliers, Bobigny, Bondy, Courbevoie, Gagny, Romainville, Rosny-sous-Bois, Rueil-Malmaison et Saint-Denis. Les Nuits de la Solidarité ont également essaimé en France métropolitaine, avec des éditions dans des villes comme Rennes, Metz, Grenoble, Toulouse ou Montpellier.

Pour la première fois, toujours lors de l’édition 2022, la Nuit de la Solidarité parisienne a été mutualisée avec la collecte Habitations Mobiles et Sans-Abri (HMSA) de l’INSEE, qui pour rappel se déroule tous les cinq ans dans le cadre du recensement de la population dans les communes de plus de 10 000 habitants. Cette mutualisation a permis de bénéficier de la dynamique portée par la Nuit de la Solidarité pour recenser de façon la plus fine possible le nombre de personnes sans-abri et d’assoir la cohérence des résultats obtenus.

Comme parlementaires, nous soutenons ces initiatives locales et en appelons à l’État pour les mettre en place à l’échelle nationale : mobilisation des services de l’État, reconnaissance à leur juste valeur des professionnels engagés au quotidien, maintien des emplois indispensables à l’accompagnement social de toutes et tous. 

La première étape nécessaire à l’élaboration d’une réelle politique de mise à l’abri des personnes sans abri, à la prévention des situations de grande exclusion et à l’insertion durable des publics concernés consiste à recenser précisément les besoins dans toutes nos communes.

L’article 1er de la proposition de loi propose donc de généraliser à l’ensemble du territoire national le décompte annuel du nombre de personnes contraintes de dormir à la rue, sur le modèle de la Nuit de la Solidarité, afin d’établir un diagnostic objectif des besoins d’hébergement et plus globalement des services permettant de répondre aux besoins fondamentaux de toutes les personnes en situation de grande exclusion.

L’article 2 dispose qu’à la suite du décompte, ce diagnostic fera l’objet d’un rapport transmis à la représentation nationale, comprenant les éléments du diagnostic et une liste de recommandations.

2. ARTICLE

Nuit de la Solidarité estivale : premiers résultats de l’expérimentation

Mise à jour le 12/07/2023 VILLE DE PARIS

La première Nuit de la Solidarité estivale a eu lieu dans la nuit du mardi 27 juin 2O23. Cette opération a rassemblé près de 500 bénévoles et professionnels qui ont sillonné les rues du 8e, 12e et 20e pour aller à la rencontre des personnes sans-abri.

Depuis 2018, la Nuit de la Solidarité a lieu chaque année en hiver à Paris (et à l’échelle métropolitaine depuis 2022), il s’agit d’une opération de décompte des personnes sans-abri visant à mieux connaître leurs profils et à faire évoluer les politiques publiques en fonction de leurs besoins.

Premiers résultats 

817 personnes à la rue ont été recensées la nuit du 27 juin, contre 707 dans les trois mêmes arrondissements en janvier dernier, soit une hausse de 15,5 %.

Cette augmentation significative doit cependant être considérée avec prudence en l’absence de chiffres de comparaison avec les précédents étés. De plus, les résultats relevés dans les arrondissements du 8e, 12e et 20e ne peuvent permettre de tirer des conclusions pour l’ensemble du territoire de Paris.

A l’issue du dépouillement, en septembre, de l’ensemble des questionnaires, une photographie plus précise de l’état des lieux et des profils rencontrés sera communiquée.

Parmi les premiers constats, il est à noter une baisse du nombre de familles et de couples à la rue. 5,5 % des personnes décomptées seraient dans cette situation dans les trois arrondissements testés contre 19 % au mois de janvier.

Graphique avec les résultats  du décompte de la Nuit de la solidarité depuis 2018 sur 3 arrondissements

Pourquoi un décompte en période estivale ? 

Le problème des personnes sans-abri est un sujet davantage relayé et médiatisé en hiver, quand le grand froid met en lumière les conditions difficiles des personnes qui dorment à la rue. Pour autant, les conditions de vie restent difficiles à n’importe quelle période de l’année, les chiffres montrent d’ailleurs que la mortalité des personnes sans-abri varie peu d’un mois à l’autre . 

L’expérimentation pendant l’été est ainsi destinée à mieux connaitre les profils des personnes dormant dans la rue en dehors de l’hiver et à mieux saisir les conditions de vie des personnes rencontrées (circonstances d’arrivé à la rue, difficultés liées à la saisonnalité, etc.). Elle permettra d’évaluer si le nombre de personnes à la rue et les publics concernés évoluent entre l’hiver et l’été et s’il y a des spécificités saisonnières dans les profils rencontrés.

L’opération qui s’est déroulée sur 3 arrondissements cette année (8e, 12et 20e) vise également à faire émerger les besoins spécifiques liés à l’été. Chaleur, accès à l’eau, baisse de l’aide alimentaire, impact de la vie nocturne estivale sur l’occupation de l’espace public,… les problématiques liées à la période estivale sont nombreuses et sont appréhendées grâce au questionnaire proposé aux personnes rencontrées. Les informations recueillies permettront d’ajuster les dispositifs et politiques publiques dédiées à la cause.

La mise en place de cette expérimentation, à un an des Jeux Olympiques, participe à contribuer au volet inclusif de cet événement sportif dans le respect des personnes et de leurs biens.

500 bénévoles parisiens mobilisés : retour en images 

Cet été, près de 500 volontaires sur le terrain ont répondu présent pour mener à bien l’opération.

Une fois de plus, la Ville de Paris a pu compter sur la précieuse mobilisation des Parisiennes et Parisiens et des partenaires pour aller sur le terrain à la rencontre des personnes sans-abri afin de mener ce décompte.

Plus de 3 000 personnes se retrouvent sans solution d’hébergement dans les rues de la capitale, a indiqué la mairie jeudi 9 février, à la suite de l’opération « Nuit de la solidarité ». Une situation « extrêmement préoccupante », s’alarme la ville de Paris.

VOIR CERTAINES DE NOS AUTRES PUBLICATIONS SUR LA PAUVRETÉ

MAL LOGEMENT : UNE CRISE INSTALLÉE DANS LA RÉPÉTITION RITUALISÉE (?) DE L’ALARME…ET DES ENGAGEMENTS. https://metahodos.fr/2021/08/25/mal-logement-la-crise-est-devant-nous-telos/

Inégalités et pauvreté: Poison mortel pour notre Démocratie et notre Prospérité individuelle et collective https://metahodos.fr/2020/12/25/le-creusement-des-inegalites-de-revenus-ce-poison-mortel-pour-notre-democratie/

EN GRAND » : PROMESSES (22) TENUES …29 juin 2023 — GRANDS NETTOYAGES ET DÉPLACEMENTS DE PERSONNES SANS ABRIS. MARSEILLE VILLE POTEMKINE POUR L’OCCASION. « Même les clochards ont été délogés !

https://metahodos.fr › 2022/12/18DE PLUS EN PLUS DE PERSONNES ( DONT DES ENFANTS ) DANS LES …18 déc. 2022 — ZERO SDF, QUID DE CETTE PROMESSE ELECTORALE ? https://metahodos.fr/2022/01/07/zero-sdf-une-promesse-electorale-impossible-a-tenir/.

https://metahodos.fr › 2023/07/24L’IMPOSTURE DU « PLEIN EMPLOI » FACE AUX 9 MILLIONS DE … il y a 4 jours — METAHODOS A RÉGULIÈREMENT TRAITÉ DE CETTE IMPOSTURE QU’EST LE « PLEIN EMPLOI; … les personnes sans abri ou les habitations mobiles.

https://metahodos.fr › 2023/05/19IMMIGRATION (10) – DES « DÉPLACEMENTS PLANIFIÉS. 19 mai 2023 — chante-t-on au ministère de l’intérieur https://metahodos.fr/2023/05/12/ … sans que le Parlement – une fois de plus – n’ait été saisi.

https://metahodos.fr › 2022/02/04LOGEMENT, POLITIQUE EN ÉCHEC ? FONDATION ABBÉ PIERRE. 4 févr. 2022 — ZERO SDF, QUID DE CETTE PROMESSE ELECTORALE ? https://metahodos.fr/2022/01/07/zero-sdf-une-promesse-electorale-impossible-a-tenir/.

https://metahodos.fr › 2023/02/17DES MILLIERS DE MÈRES ET NOURISSONS À LA RUE. 17 févr. 2023 — Parmi elles, près de la moitié sont des enfants : en France, 42 000 mineur·es sont sans abri, hébergé·es à l’hôtel ou hébergé·es d’urgence.

https://metahodos.fr › 2023/04/22Les SDF face à la dématérialisation des paiements – metahodos.fr. 22 avr. 2023 — Les SDF face à la dématérialisation des paiements Jean-Loup Delmas. 10 mars 2023 20 MINUTES La plupart des achats se faisant désormais par …

https://metahodos.fr › 2021/08/27L’URGENCE D’AGIR EN COHÉRENCE FACE À LA CRISE … – metahodos.fr. 27 août 2021 — Or, la construction a baissé depuis son élection… quant à l’engagement relatif aux sans abris, on connait son triste sort.

https://metahodos.fr › 2021/08/25MAL LOGEMENT : UNE CRISE INSTALLÉE DANS LA RÉPÉTITION … 25 août 2021 — … à l’engagement relatif aux sans abris, on connait son triste sort. … Po – dans l’article que metahodos.fr vous propose de reprendre.

https://metahodos.fr › 2020/12/25Inégalités et pauvreté: Poison mortel pour notre Démocratie … – metahodos.fr. 25 déc. 2020 — BILLET Une démocratie inclusive et épanouissante Pour METAHODOS, la démocratie … NB: cette déclaration concernait bien l’ensemble de

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.