
DES RÉFORMES INSTITUTIONNELLES QUI S’INVITENT POUR LE SECOND TOUR ;
Référendum et proportionnelle, septennat également sont proposés par les deux candidats. E Macron a annoncé il y a quelques jour une nouvelle « méthode ». Le contenu reste attendu, et rappelons nous que la promesse avait déjà été faite !
Autant d’éléments qui peuvent, selon Metahodos , contribuer à régénérer la démocratie.
Mais bien d’autres volets restent en retrait :
– décentralisation et coopération État Collectivités, notamment sur les grandes politiques publiques de services aux populations,
– gouvernance et prise en compte des parties prenantes,
– indépendance de la justice,
– réforme du Conseil d’Etat, du Conseil Constitutionnel de la Cour des Comptes,
– renforcement du Parlement,
– respect des prérogatives du Gouvernement,
– statut des élus,
– modalités de démocratie participative,
– re-dynamisation des politiques de solidarité et de réduction des inégalités,
-réformer l’administration, le statut des agents, le cadre comptable et la responsabilité des fonctionnaires et élus,
– simplifier les réglementations et procédures,
– Etc. (Voir les propositions de Metahodos)
Le candidat LREM à la présidentielle vient de s’exprimer sur la réinstauration d’un mandat présidentiel de sept ans, déjà soutenu par sa rivale, Marine Le Pen.
Article
Publié le 12/04/2022 FranceInfo
Bonnet blanc, blanc bonnet ? Après Marine Le Pen, Emmanuel Macron s’est dit « plutôt favorable au septennat », remplacé par le quinquennat depuis 2000, lors d’un déplacement dans le Grand Est, mardi 12 avril.
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Un mandat de sept ans, c’est « un bon rythme pour la présidentielle » et « une bonne respiration par rapport au rythme des législatives », a-t-il lancé, alors que l’instauration d’un « septennat non renouvelable » fait partie du programme de sa concurrente. Il a par contre estimé que « le caractère renouvelable » ou non de ce mandat devrait être laissé au « peuple ».
Mener « une action longue »
Pour Marine Le Pen, ces sept ans permettraient de rendre « son prestige » à la fonction, sa capacité de mener « une action longue » tout en évitant le risque de la campagne présidentielle « permanente ». Interrogée par un journaliste sur la déclaration d’Emmanuel Macron, elle a ironisé : « Il va finir par voter Marine Le Pen à force. Il reste dix jours, on ne sait jamais ! »
Depuis la révision constitutionnelle de 2008, un président ne peut pas exercer plus de « deux mandats consécutifs ».
Bonjour, Thierry,Avec un Macron qui décide seul, prend l’assemblée pour une chambre d’enregistrement, gouverne par décret et confie la stratégie politique française à des cabinets privés et étrangers, alors Macron ou Le Pen, c’est plutôt bonnet brun et brun bonnet…Bien amicalementJean-Marc
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