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POINT DE NON RETOUR ? (33) « Sortir d’une approche gestionnaire, repartir des problèmes vécus »

NOTRE DOSSIER « POINT DE NON RETOUR ? » EN FIN D’ARTICLE

« POUR 7 FRANÇAIS SUR 10, LA RÉÉLECTION D’EMMANUEL MACRON A ÉTÉ UNE MAUVAISE CHOSE POUR LE PAYS »

TITRE BFM LE 24/04/2023 QUI POURSUIT :

– 69% des Français estiment que la réélection d’Emmanuel Macron le 24 avril 2022 a été une mauvaise chose pour le pays. Le désaccord, la déception et la colère sont les mots qui décrivent le plus l’état d’esprit des Français à son égard.

Un an après avoir réélu Emmanuel Macron à la tête du pays, l’heure du bilan est arrivée pour les Français. Et pour 69% d’entre eux, soit sept sur dix, la réélection du candidat Renaissance a été une mauvaise chose pour le pays, selon une enquête « L’Opinion en direct » menée par l’institut Elabe pour BFMTV publiée ce lundi.

Cette perception a augmenté de 14 points depuis la dernière mesure effectuée peu après sa réélection, le 27 avril 2022. A l’inverse, 30% des Français considèrent que sa réélection a été une « bonne chose ».

Désaccord, déception et colère à l’égard du président

Quand ils pensent au chef de l’Etat, les mots qui reviennent le plus chez les Français sont le désaccord (44%), la déception (42%), la colère (39%) et l’hostilité (26%). Des mots négatifs qui devancent largement des mots plus positifs tels que le respect (13%), le soutien (10%), la satisfaction (7%) ou encore la sympathie (7%).

Cette perception de l’action du chef de l’Etat se traduit aussi par la perte du soutien d’une partie de son électorat, et notamment de près d’un quart de son socle et de plus de 40% de ses électeurs du second tour, qui jugent son action « décevante ».

Même constat pour 90% des électeurs de Jean-Luc Mélenchon et de Marine Le Pen et 70% des abstentionnistes.

Une action majoritairement jugée « décevante » depuis 2017

Plus globalement, l’action du président de la République depuis sa première élection en 2017 est jugée « décevante » par deux Français sur trois, soit 66%. Un chiffre en augmentation depuis le mois de juillet dernier, et qui vient s’établir proche du niveau atteint au moment des gilets jaunes (69% en novembre 2018).null

Une grande majorité des Français estiment par ailleurs qu’il n’a pas transformé en profondeur le pays depuis 2017, avec 31% des interrogés qui pensent qu’il « n’a pas changé le pays » et 53% pour qui il « a modifié quelques aspects seulement du pays ».

Une insatisfaction dans les domaines de la santé et de l’éducation

Par domaines, près de trois Français sur quatre estiment que son action n’est « pas satisfaisante » concernant la santé (79%), l’éducation (77%), la gestion des dépenses publiques (77%), l’immigration (77%), ou encore la lutte contre les inégalités sociales (75%), le pouvoir d’achat (74%) et l’environnement (73%).

C’est sur le plan international que son action suscite le moins d’insatisfaction avec tout de même 60% de Français insatisfaits par la place de la France sur la scène internationale et et son action dans les conflits internationaux.

ARTICLE

« La politique doit sortir d’une approche gestionnaire pour repartir des problèmes vécus »

Lionel Fournier et Hervé Chaygneaud-Dupuy le 21/04/2023 LA CROIX

Pour les auteurs de ce texte, des mesures de « démocratie sociétale » pourraient faire émerger une expression qui aille au-delà de la contestation. Ils appellent à la création de lieux de concertation locale, sans pour autant qu’ils remplacent les lieux de prise de décision.

  • Lionel FournierDirecteur Santé & Ecologies d’Harmonie Mutuelle
  • Hervé Chaygneaud-DupuyCofondateur d’Imaginarium-s et de Citoyens & Compagnie

Lionel Fournier et Hervé Chaygneaud-Dupuy défendent le concept de <em>« démocratie sociétale »</em>, recentrée sur les concertations locales et qui pourraient faire émerger une expression qui aille au-delà de la contestation. / melita – stock.adobe.com

Le Conseil constitutionnel a validé l’essentiel de la réforme des retraites, y compris la méthode employée. Notre vie démocratique gagnerait pourtant à tenir compte de ces trois mois de focalisation sur la démocratie sociale. Alain Supiot affirmait avec force dans une tribune parue dans Le Monde qu’il ne fallait pas mépriser la démocratie sociale. En disant cela, il ne se contentait pas d’une simple défense du rôle des syndicats et du paritarisme à laquelle on réduit souvent la démocratie sociale.

« Dans une démocratie sociale digne de ce nom, ce conflit devrait pouvoir se régler de façon non-violente »

Le juriste, spécialiste du droit du travail, élargit en effet considérablement le propos en sortant la démocratie sociale du cadre de l’entreprise et du monde du travail. Nous y trouvons les ingrédients de ce que l’un de nous appelle la « démocratie sociétale », une démocratie qui partirait de l’expérience vécue par chacun dans l’ensemble de ses sphères d’activité : dans le travail comme dans la vie locale.

Méfiance réciproque

Rappelons ses propos : « À la différence de la démocratie par le nombre, qui légitime la représentation politique, la démocratie sociale est essentiellement qualitative. Elle ne saisit pas l’intérêt général comme une donnée a priori de l’élaboration de la loi, mais bien plutôt comme une construction dont la solidité exige la confrontation d’expériences et de groupes d’intérêts différents. » Comme pour la démocratie politique, il est nécessaire de disposer d’« assemblées de parole », mais – précise l’auteur – ces assemblées « se tiennent au plus près des conditions concrètes d’existence, qui diffèrent d’une profession ou d’une localité à l’autre ».

« Pour la première fois, un président n’a plus de comptes à rendre, à personne »

Les traductions de ces principes dans les pratiques actuelles de ce qu’on appelle la démocratie sociale ne sont à l’évidence pas assez puissantes pour renouveler l’attrait pour la démocratie dans son ensemble. On voit même s’accroître la méfiance réciproque entre ces deux sphères démocratiques, qui ont de plus en plus de mal à s’accorder et même à s’écouter. Il semble loin le temps de la « deuxième gauche » et du rocardisme ! Même les syndicats habitués aux compromis sont désormais dans la rue et ne semblent pas très enclins à revenir discuter avec le pouvoir politique.

Contenir l’expression des citoyens

Démocratie sociale et démocratie politique, dans leurs expressions institutionnelles, ne parviennent plus à contenir (au double sens du terme) l’expression des citoyens comme des travailleurs. Les débordements abondent et sapent l’autorité des autorités. Les tentatives pour rénover ces formes de démocratie, chacune de leur côté, peinent à emporter l’adhésion : participation citoyenne ou participation des travailleurs restent trop timides, trop déconnectées de la décision et de l’action pour convaincre au-delà des cercles déjà convaincus.

Démocratie abîmée, tous responsables !

Alain Supiot donne le cap : il faut une démocratie qui s’appuie sur « les conditions concrètes d’existence » et des espaces de dialogue au plus près des réalités locales et professionnelles. Comment le traduire concrètement ? Comment dépasser une expression qui se limite trop à la contestation du fait de la défiance systématisée (le nimbyd’un côté, le refus de toute évolution du droit du travail de l’autre) ? Il nous semble que deux axes sont à explorer en priorité.

Des préoccupations partagées

Du local au national, il faut renforcer la possibilité de « mettre à l’agenda » les sujets de préoccupation largement partagés. Les outils actuels de l’intelligence collective permettent de faire remonter des thématiques, de formuler progressivement des problématiques. On peut imaginer sans trop se tromper que le questionnement qui serait remonté d’une interaction avec les Français à propos des retraites n’aurait pas mis en avant la question de l’équilibre financier mais sans doute une interrogation de ce type : comment mieux vivre le passage du temps du travail à celui de la retraite en tenant compte du fait qu’on vit plus longtemps ?

Le « pacte du pouvoir de vivre » se pose en recours face à la « crise démocratique »

Peut-être même aurait-on pu préciser le questionnement de cette manière : « … avec des capacités même si ce ne sont plus celles de la poursuite du même emploi plus longtemps ». Ce « cahier des charges » donné par les Français pouvait conduire à une tout autre réforme, mettant en avant d’autres voies de prolongation de l’activité. La mise à l’agenda par les Français (travailleurs ET citoyens), c’est sortir d’une approche gestionnaire de la politique pour repartir des problèmes vécus via une actualisation des « cahiers de doléances », comme nous y avait appelés Bruno Latour lors de la crise des « gilets jaunes ».

Des espaces de concertation

L’autre axe de cette démocratie sociétale serait de développer un pouvoir d’agir local dans les différents lieux d’exercice de son activité au sens large qui englobe l’entreprise, la commune, l’école, l’hôpital, l’Ehpad… Pour nous, les « assemblées de parole » qu’évoque Alain Supiot ne doivent pas être des lieux de prise de décision à la place des instances compétentes, ça ne marche ni dans la cité ni dans l’entreprise.

« La démocratie de l’instant, des poubelles qui brûlent, prend le pas sur les élections »

Il faut que ces lieux soient avant tout des espaces où l’on peut se concerter pour faire ensemble et ainsi améliorer des aspects concrets de nos conditions de vie : il faut commencer petit, apprendre en faisant, voir que la confiance mutuelle et l’action à plusieurs produisent des résultats concrets et progressivement aller plus loin. Diverses initiatives partant des territoires et mobilisant pour le faire ensemble nous paraissent judicieuses et porteuses d’espoir (Bouge ton coq…), l’espace de l’entreprise peut être le creuset d’un passage à l’échelle nécessaire.

Une démocratie en phase avec la vie

Nous inaugurons ensemble une démarche intitulée « Vivre mieux », qui s’appuie sur les envies d’agir des salariés de plusieurs entreprises d’un même territoire. Il y a naturellement beaucoup de réticences à surmonter, d’habitudes et de craintes, tant cette façon de faire est éloignée de ce qui est pratiqué depuis des décennies, mais on voit clairement que de tels espaces de liberté créative sont investis et font sens tant pour l’entreprise que pour les salariés.

Les conventions citoyennes sont-elles un bon outil démocratique ?

Une certitude, si l’on veut que cette démocratie soit en phase avec la vie des gens, elle ne peut pas être cantonnée dans des espaces jugés à tort ou à raison loin des gens. La participation pour réussir ne peut plus être l’affaire des seules institutions locales. Et si c’était par le mutualisme revisité que cette interaction forte entre monde de l’entreprise et enjeux locaux pouvait s’activer le mieux ?

Lionel Fournier et Hervé Chaygneaud

NOTRE DOSSIER « POINT DE NON RETOUR ? »

UN EXÉCUTIF AU-DELÀ DU POINT DE NON RETOUR ?

Les explications de texte à distance, les commentaires autorisés de Matignon, de l’Elysee ou encore de Renaissance, par médias interposés entre les deux têtes de l’exécutif, les ministres, conseillers… témoignent de la difficulté à trouver une sortie de la crise. 

Le président demande à la première ministre de trouver une nouvelle majorité, et quelques jours plus tard, la seconde parle de majorité par projet.

La première ministre parle de période de convalescence au lendemain du 49.3 des retraites, alors que le president souhaite maintenir le rythme. Puis la première ministre parle d’accélérer le rythme pour « coller » au président. Mais quelques jours plus tard, le 17 avril, le président impose un ralentissement… et donne rdv aux Français et à la première ministre le 14 juillet. 

« Je pense que nous sommes entrés dans une crise qui peut être gravissime parce que c’est une pente glissante et cette intervention (17 avril) n’a mis aucun point d’arrêt », 

Pierre Rosanvallon, historien de la démocratie, sociologue et professeur honoraire au Collège de France.

LE POINT DE NON RETOUR DE LA CRISE DÉMOCRATIQUE ?

Pire, cela renforce la crise; installe un véritable « POINT DE NON RETOUR « pour l’exécutif, et surtout pour notre démocratie.

« 82% des Français estiment que le pouvoir ne tient « aucun compte » de leur avis

(enquête CEVIPOF sur la confiance 2023). La crise démocratique bat son plein. 

Comment ne pas s’en apercevoir … inexpérience, déni, aveuglement, hypocrisie ?

PUBLICATIONS PRÉCÉDENTES :

DUO DE L’EXÉCUTIF – UN « POINT DE NON RETOUR » QUI S’EST IMPOSÉ ? https://metahodos.fr/2023/04/10/duo-de-lexecutif-point-de-non-retour-1/

POINT DE NON RETOUR ? (2) – IMPASSE POLITIQUE : L’IMPÉRATIF DE « TOUT CHANGER »https://metahodos.fr/2023/04/10/point-de-non-retour-impasse-politique-limperatif-de-tout-changer/ 

POINT DE NON RETOUR ? (3) – « COLÈRE », « DÉGOÛT », « IMAGE NEGATIVE POUR 65% DES FRANÇAIS https://metahodos.fr/2023/04/11/colere-degout-65-des-francais-ont-une-image-negative-demmanuel-macron-selon-un-sondage/

POINT DE NON RETOUR ? (3BIS) LETTRE INVITANT L’EXÉCUTIF À RÉPONDRE AUX INQUIÉTUDES DES FRANÇAIS https://metahodos.fr/2023/04/11/lettre-invitant-lexecutif-a-repondre-aux-inquietudes-des-francais/

POINT DE NON RETOUR ? (4) RÉFORME INSTITUTIONNELLE : « NE VOUS FATIGUEZ PAS IL N’Y AURA RIEN »https://metahodos.fr/2023/04/12/reforme-institutionnelle-ne-vous-fatiguez-pas-il-ny-aura-rien/

POINT DE NON RETOUR ? (5) « PARALYSIE POLITIQUE » ET « IRRESPONSABILITÉ COLLECTIVE »  https://metahodos.fr/2023/04/12/la-grande-fatigue-democratique-point-de-vue/

POINT DE NON RETOUR ? (5Bis) « CHANGER ABSOLUMENT LA MANIÈRE DE PRÉSIDER » https://metahodos.fr/2023/04/12/point-de-non-retour-19/

POINT DE NON RETOUR ? (6) « DÉSAMOUR » « ARROGANCE NOURRIE D’IGNORANCE SOCIALE » https://metahodos.fr/2023/04/13/56948/

POINT DE NON RETOUR ? (7) « PARACHÈVEMENT DE LA DÉCOMPOSITION DE NOS ÉQUILIBRES DÉMOCRATIQUES »  https://metahodos.fr/2023/04/13/le-president-et-sa-premiere-ministre-ne-sont-pas-le-premier-couple-executif-a-pietiner-lesprit-comme-la-lettre-de-la-constitution-point-de-vue/

POINT DE NON RETOUR ? (8) « À TROP GOUVERNER CONTRE SON PEUPLE … ». https://metahodos.fr/2023/04/14/a-trop-gouverner-contre-son-peuple/

POINT DE NON RETOUR ? (9) « COMMENT LES FRANCAIS PEUVENT ILS ARRETER MACRON » ? – EMMANUEL TODD, POINT DE VUEhttps://metahodos.fr/2023/04/14/emmanuel-todd-macron-me-fait-penser-a-un-enfant-excite-qui-cherche-a-tester-la-limite-des-francais/

POINT DE NON RETOUR ? (9BIS) « DU CLASH AU CRASH », « RDV MANQUÉ DU CL CONSTITUTIONNEL » ? https://metahodos.fr/2023/04/15/point-de-non-retour-du-clash-au-crash-rdv-manque-du-cl-constitutionnel/

POINT DE NON RETOUR ? (10) « LA VERTICALE DU VIDE ». https://metahodos.fr/2023/04/15/mise-a-jour-de-la-verticale-du-vide/

POINT DE NON RETOUR ? (11) UN ANTI GAULLISME DANGEREUX POUR LA DÉMOCRATIE ? – POINT DE VUE  https://metahodos.fr/2023/04/15/lanti-de-gaulle-emmanuel-macron-est-il-devenu-dangereux-pour-la-democratie-francaise-2/

POINT DE NON RETOUR ? (12) MALAISE DÉMOCRATIQUE : COMMENT changer les règles du jeu démocratique ?https://metahodos.fr/2023/04/16/malaise-démocratique-comment-changer-les-regles-du-jeu-democratique-et-comment-les-citoyens-peuvent-ils-contribuer-a-ce-processus-point-de-vue/

POINT DE NON RETOUR ? (13) CONSTRUIRE DES COALITIONS, C’EST RÉTABLIR NOTRE DÉLIBÉRATION PARLEMENTAIRE https://metahodos.fr/2023/04/16/construire-des-coalitions-cest-retablir-notre-deliberation-parlementaire-et-rompre-avec-une-singularite-francaise/

POINT DE NON RETOUR ? (14) LA VIE PUBLIQUE EST INSUFFISAMMENT OCCUPÉE PAR LA DÉFENSE DES VALEURS CIVIQUES ET LE DESTIN DE LA DÉMOCRATIE https://metahodos.fr/2023/04/17/point-de-non-retour-11-la-vie-publique-est-insuffisamment-occupee-par-la-defense-des-valeurs-civiques-et-le-destin-de-la-democratie/

POINT DE NON RETOUR ? (15) « ORDRE DÉMOCRATIQUE CONTRE ESPRIT DÉMOCRATIQUE ? » https://metahodos.fr/2023/04/17/lordre-democratique-soppose-t-il-a-lesprit-de-la-democratie/

POINT DE NON RETOUR ? (16) « RECONSTRUIRE UNE GAUCHE ET UNE DROITE MODÉRÉS » https://metahodos.fr/2023/04/18/reconstruire-une-gauche-et-une-droite-moderes-et-en-mesure-de-recreer-lalternance-la-solution-a-lissue-des-deux-quinquennats-point-de-vue/

POINT DE NON RETOUR ? (17) PRÉSIDENTIALISME PAR DÉFAUT, GOUVERNEMENT MINORITAIRE, PARLEMENTARISME NÉGATIF https://metahodos.fr/2023/04/18/parlementarisme-negatif-gouvernement-minoritaire-presidentialisme-par-defaut/

POINT DE NON RETOUR ? (17 BIS) RÉFORME INSTITUTIONNELLE : OBSOLESCENCE DE LA Ve RÉPUBLIQUE ?  https://metahodos.fr/2023/04/18/reforme-institutionnelle-obsolescence-de-la-ve-republique/

POINT DE NON RETOUR ? (18) « L’anti De Gaulle : E.Macron est-il devenu dangereux pour la démocratie française ? » https://metahodos.fr/2023/04/19/lanti-de-gaulle-emmanuel-macron-est-il-devenu-dangereux-pour-la-democratie-francaise/

POINT DE NON RETOUR ? (19) VERS UNE DÉMOCRATIE PLUS PARTICIPATIVE https://metahodos.fr/2023/04/19/point-de-non-retour-19-vers-une-democratie-plus-participative/

POINT DE NON RETOUR ? (19BIS) « UNE CRISE DEMOCRATIQUE GRAVISSIME », « OUI JE SUIS EN COLERE »  https://metahodos.fr/2023/04/19/depuis-la-fin-du-conflit-algerien-la-crise-democratique-la-plus-grave-que-la-france-ait-connue/

POINT DE NON RETOUR ? (19TER) L’ÉVÉNEMENT : LA COLÈRE DE PIERRE ROSANVALLON.https://metahodos.fr/2023/04/19/point-de-non-retour-20ter-levenement-la-colere-de-pierre-rosanvallon/

POINT DE NON RETOUR ? (20) ÉPUISEMENT INSTITUTIONNEL OU EFFONDREMENT ÉTHIQUE ? https://metahodos.fr/2023/04/19/point-de-non-retour-lepuisement-des-institutions/

POINT DE NON RETOUR ? (20BIS) RECONNAÎTRE « LA GRANDE DISSIDENCE DÉMOCRATIQUE » CONDITION D’UN SURSAUThttps://metahodos.fr/2023/04/20/point-de-non-retour-20bis-nommer-la-grande-dissidence-democratique-condition-dun-sursaut/

POINT DE NON RETOUR ? (21) « Une nouvelle Constitution à la Montesquieu » ? https://metahodos.fr/2023/04/20/pour-sortir-du-conflit-des-retraites-une-nouvelle-constitution-a-la-montesquieu/

POINT DE NON RETOUR ? (22) Un « climat non propice à une révision profonde de nos institutions » ? https://metahodos.fr/2023/04/21/le-climat-nest-pas-propice-a-une-revision-profonde-de-nos-institutions-estime-la-presidente-de-lassemblee-nationale/

POINT DE NON RETOUR ? (23) LE SPECTACLE DES ÉLUS PLUTÔT QUE LE DÉBAT DÉMOCRATIQUE https://metahodos.fr/2023/04/21/point-de-non-retour-22bis-parlement-le-spectacle-des-elus-plutot-sue-le-debat-democratique/

POINT DE NON RETOUR ? (24) Les faux-semblants de la participation https://metahodos.fr/2023/04/21/les-faux-semblants-de-la-participation/

POINT DE NON RETOUR ? (25) LES CONDITIONS D’UNE DÉMOCRATIE EXEMPLAIREhttps://metahodos.fr/2023/04/21/comment-la-démocrate-peut-elle-etre-exemplaire/

POINT DE NON RETOUR ? (26) DÉMOCRATIE ET GOUVERNANCE : APPEL À PROJET DE L’UNION EUROPÉENNE https://metahodos.fr/2023/04/22/democratie-et-gouvernance/

POINT DE NON RETOUR ? (24) Les faux-semblants de la participation https://metahodos.fr/2023/04/21/les-faux-semblants-de-la-participation/

POINT DE NON RETOUR ? (25) LES CONDITIONS D’UNE DÉMOCRATIE EXEMPLAIREhttps://metahodos.fr/2023/04/21/comment-la-démocrate-peut-elle-etre-exemplaire/

POINT DE NON RETOUR ? (26) DÉMOCRATIE ET GOUVERNANCE : APPEL À PROJET DE L’UNION EUROPÉENNE https://metahodos.fr/2023/04/22/democratie-et-gouvernance/

POINT DE NON RETOUR ? (26BIS) DÉMOCRATIE : NE RIEN CHANGER QUAND RIEN NE VA ? https://metahodos.fr/2023/04/24/point-de-non-retour-29-democratie-ne-rien-changer-quand-rien-ne-va/

POINT DE NON RETOUR ? (27) 100 jours… sans nommer la crise démocratique et sans proposer les remèdes ?  https://metahodos.fr/2023/04/24/point-de-non-retour-100-jours-sans-nommer-la-crise-democratique-et-sans-proposer-les-remedes/

POINT DE NON RETOUR ? (28) « La crise démocratique est à son apogée » https://metahodos.fr/2023/04/25/point-de-non-retour-27-la-crise-democratique-est-a-son-apogee/

POINT DE NON RETOUR ? (29) « PLURALISME POLITIQUE CONTRE COLÈRE POPULAIRE »https://metahodos.fr/2023/04/25/point-fe-non-retour-28-le-pluralisme-politique-contre-la-colere-populaire/

POINT DE NON RETOUR ? (30) MACHIAVEL N’EST PAS DÉMOCRATE MAIS DONNE À RÉFLÉCHIR … AUX DÉMOCRATES https://metahodos.fr/2023/04/25/point-de-non-retour-31/

POINT DE NON RETOUR ? (31) CHAHUTS, CASSEROLES ET VOIX DU PEUPLE : LES INTERDIRE POUR NE PAS LES ENTENDRE ? https://metahodos.fr/2023/04/26/chahuts-casseroles-et-voix-du-peuple-les-interdire-pour-ne-pas-les-entendre-historique/

POINT DE NON RETOUR ? (32) TWITTERISATION DU POLITIQUE. INEXORABLE ? https://metahodos.fr/2023/04/26/la-vie-politique-francaise-se-twitterise-inexorablement/

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